PROCEDE POUR L ' OBTENTION DE PRODUITS AYANT DES EFFETS BENEFIQUES
DOMAINE DE L'INVENTION
La présente invention concerne une voie nouvelle pour l'obtention de produits ayant des effets bénéfiques sur la santé, encore appelés ci-après "vecteurs d'effets bénéfiques sur la santé". Elle concerne plus particulièrement une voie nouvelle pour l'obtention de produits ayant des effets bénéfiques sur la santé tels que, par exemple, des produits alimentaires et/ou des compléments alimentaires, ainsi que des médicaments. En particulier, l'invention concerne une technique permettant de conférer des effets sur la santé à des aliments et à des compléments alimentaires, et/ou à des véhicules non thérapeutiquement efficaces en eux-mêmes, qui sont normalement dépourvus de tels effets ou dont les effets sur la santé ne sont pas significatifs. Sous un aspect plus particulier, l'invention concerne une technique visant à conférer des effets sur la santé à des aliments et des compléments alimentaires et/ou à des excipients neutres (ou excipients-diluants) non thérapeutiquement efficaces en eux-mêmes , pour permettre de les utiliser en tant que vecteurs d'effets bénéfiques sur la santé. L'invention concerne ainsi l'utilisation de systèmes d'ondes pour préparer des produits ayant des effets bénéfiques sur la santé, ainsi que les produits obtenus par ce procédé, et l'utilisation de ces produits à titre de nouveaux compléments alimentaires, de nouveaux produits alimentaires etyou de nouveaux médicaments, ces produits ayant des effets bénéfiques sur la santé étant destinés à l'homme, aux animaux, et plus généralement à tous les organismes vivants uni- ou pluri- cellulaires, y compris les végétaux.
ARRIÈRE-PLAN TECHNOLOGIQUE
Il est connu d'utiliser des ondes pour traiter des produits ayant une activité thérapeutique propre. L'effet procuré par ce traitement est alors un renforcement de l'activité thérapeutique déjà inhérente aux substances traitées.
Ainsi, dans le document en ligne intitulé "Hahnemann & others, On the
Succussion of Médicinal Fluids, etc" (avril 1999), on trouve une description de la technique de succussion bien connue en homéopathie pour préparer des formulations homéopathiques à partir d'un produit liquide à effet thérapeutique et une mise en garde contre les succussions que peut générer le simple transport de la formulation.
Dans le document WO 98/14161 A est décrite une méthode pour accroître les défenses de l'organisme, qui consiste en fadministration d'un produit de ty}>e homéopathique mis en présence d'un certain facteur physique (énergie irradiante, haute ou basse température, changement brutal de la pression atmosphérique, entre autres) et simultanément en l'application au sujet à traiter de ce même facteur physique faiblement dosé, et ce en tenant compte de la sensibilité individuelle de l'individu traité.
Dans le document EP 0 326 143 est décrit un procédé pour le traitement utilisant un champ magnétique pour potentialiser l'action de substances chimiques utilisées elles-mêmes en tant que médicaments, avec pour explication que le renforcement de cette activité thérapeutique propre à la substance testée vient de l'augmentation de la vitesse de perméation de celle-ci à travers les membranes des lipides.
Le document de Netten, G., Traisnel, M. et Verain, A intitulé "Médicaments homéopathiques", 1986, Technique et Documentation, Paris, p. 78-90 rappelle les principes de la pharmacotechnie homéopathique.
Le document paru dans la base de données EMBASE Online, intitulé "Electromagnetic structure illustration as an effective principle for information transfer in potentation of remédies" sous les noms de Strube et al., éd. Elsevier Science Publishers, Amsterdam, NL, traite du mécanisme physique de l'action des médicaments homéopathiques, en reprenant l'hypothèse de la "mémoire de l'eau" (dénommée EMSI dans ce document), qui a été proposé pour les hautes dilutions homéopathiques et qui ne résiste pas à la critique. Le principe consiste à potentialiser une substance primaire, en utilisant pour ce faire un champ magnétique entourant les molécules de ladite substance primaire, elle-même dotée d'une activité thérapeutique.
RÉSUMÉ DE L'INVENTION
On a maintenant trouvé de manière inattendue que l'on peut élaborer par des moyens physiques originaux, qui seront décrits plus loin, de nouveaux produits ayant des effets bénéfiques sur la santé, et parmi eux des produits alimentaires et/ou des compléments alimentaires (ci-après dénommés produits alimentaires et/ou compléments alimentaires « informés » ou « modifiés », ou en abrégé "PACA") et de nouveaux médicaments réalisés à partir d'excipients neutres ou d'excipients- diluants n'ayant pas en eux-mêmes d'activité thérapeutique et auxquels on a conféré des effets bénéfiques sur la santé.
L'invention a pour premier objet un procédé pour conférer des effets sur la santé à un produit n'ayant pas d'effet thérapeutique propre notable, procédé dans lequel on expose un produit choisi dans le groupe consistant en un produit alimentaire, un complément alimentaire (en abrégé "PC"), un excipient-diluant et leurs mélanges, à un ou plusieurs systèmes d'ondes électromagnétiques et/ou acoustiques (en abrégé "SOEA"), avantageusement choisies dans le groupe des ondes appartenant au spectre visible, au spectre invisible, au rayonnement laser, aux champs électromagnétiques, aux champs magnétiques et/ou aux ondes acoustiques, et on utilise le produit en l'état ou, en option, après une ou plusieurs dilutions ou déconcentrations.
Selon une variante avantageuse, le système d'ondes électromagnétiques et/ou acoustiques mis en oeuvre dans le procédé selon l'invention est en outre avantageusement flashé et/ou polarisé et/ou puisé.
Ledit système d'ondes peut être sans rapport direct avec la visée thérapeutique du produit obtenu.
Le rayonnement (SOEA) peut être extérieur et/ou intérieur au PC et/ou il peut être au contact du PC pendant la fabrication du PACA.
Sans pour autant vouloir être lié par une quelconque théorie, on pense que les systèmes d'ondes mis en oeuvre selon l'invention dopent le PC et/ou l'excipient- diluant avec une information immatérielle qui, en elle-même et/ou en combinaison avec le PC et/ou l'excipient-diluant, confère au produit ainsi élaboré une aptitude à générer un effet favorable sur la santé des organismes vivants.
DESCRIPTION DÉTAILLÉE DE L'INVENTION L'invention sera décrite dans la suite en référence tant à la forme de réalisation de l'invention concernant des produits alimentaires et des compléments alimentaires, qu'en référence à la forme de réalisation de l'invention concernant des excipients et/ou diluants à usage de médicaments ou encore des excipients et/ou diluants combinés avec des PC. Cependant, ce qui sera exposé pour l'une de ces formes de réalisation pourra être transposé par l'homme du métier à l'autre forme de réalisation, ainsi qu'à d'autres formes de réalisation possibles du concept inventif général selon la présente invention. L'homme du métier conçoit ainsi que l'invention englobe le concept inventif exposé plus haut, aux fins de la préparation de produits alimentaires, de compléments alimentaires, d'excipients-diluants à usage de médicaments et d'excipients-diluants combinés avec des produits alimentaires et/ou des compléments alimentaires, entre autres.
On entend par PC un produit alimentaire et/ou un complément alimentaire comportant tout produit destiné à l'alimentation tel que, par exemple, un ou plusieurs des constituants choisis parmi les glucides, les protides, les lipides, les vitamines, les acides aminés, les minéraux, les végétaux, les hormones (comme par exemple la mélatonine, la DHEA - ou déhydroépiandrostérone -, la prégnénolone), les substances ou ingrédients chimiques (tels que par exemple: la phosphatidylsérine, la lécithine, l'inositol, le sorbitol, la caféine) et les substances d'origine animale (telles que par exemple la gelée royale), minérale ou biologique, entre autres.
En ce qui concerne les excipients et/ou les diluants (encore dénommés ci- après excipients-diluants) traités dans le procédé selon l'invention, ils peuvent être choisis par exemple parmi l'éthanol, le lactose, le saccharose, la glycérine, l'eau, ainsi que plus généralement parmi tous les excipients-diluants connus de l'homme du métier.
L'excipient-diluant peut également comprendre des produits alimentaires (lipidiques et/ou glucidiques et/ou protidiques), des compléments alimentaires (notamment minéraux, oligo-éléments, vitamines, acides aminés) , des plantes, des extraits de plantes, des produits d'origine animale, minérale, humaine et/ou chimique, des médiateurs, des substances biologiques ou chimiques, et des hormones. En variante, l' excipient-diluant, une fois "informé" selon le procédé physique tel que défini ici, peut être combiné, dans la même formule, avec des produits alimentaires (lipidiques et/ou glucidiques et/ou protidiques) et/ou des compléments alimentaires (minéraux, oligo-éléments, vitamines, acides aminés, etc.) et/ou des plantes et ou leurs extraits et/ou des produits d'origine animale et/ou minérale et/ou humaine et/ou chimique et/ou des médiateurs ou substances biologiques et/ou chimiques et/ou des hormones.
Un excipient-diluant gazeux est également envisageable. On peut ainsi utiliser tous les gaz en tant qu'excipients et diluants. A titre d'exemple, on utilise de l'oxygène, par exemple sous forme d'ozone. Le flacon d'oxygène est irradié par le rayonnement (obtention de la teinture-mère gazeuse). Les déconcentrations ultérieures se font dans du gaz et/ou dans tout autre excipient. Ainsi, si l'on utilise le gaz, il suffit de prélever, par exemple, 1 millilitre d'oxygène et de le diluer dans 99 millilitres d'oxygène (dilution centésimale). On secoue le flacon par exemple 100 fois. Si l'on veut transférer l'" information " thérapeutique dans un solvant liquide, on peut, à titre d'exemple, faire barboter 1 millilitre d'oxygène (de la teinture-mère gazeuse, en abrégé TM - ou de toute déconcentration gazeuse de cette TM gazeuse)
dans 99 millilitres d'alcool, par exemple à 60°. Par exemple : on agite 100 fois le flacon contenant l'alcool à 60° et l'oxygène. L'imprégnation des excipients solides peut se faire directement avec la dilution gazeuse, la teinture-mère gazeuse ou le diluant liquide (par exemple l'alcool à 60°). Si l'on utilise le procédé d'imprégnation directement dans le gaz, par exemple de l'oxygène, on injecte dans un flacon de 1 litre contenant, par exemple, 200 milligrammes de granules (petites sphères de 0,05 g environ, constituées de saccharose et de lactose) 1 millilitre du gaz servant à l'imprégnation. On secoue le flacon 100 fois et on le laisse au repos au moins pendant 3 heures. De préférence, les systèmes d'ondes (SOEA) utilisés selon l'invention pour procurer des informations électromagnétiques et/ou acoustiques aux excipients se caractérisent par des gammes de fréquences: du domaine des fréquences sonores, soit entre 16 Hz et 15 000 Hz environ, du domaine des fréquences ultrasonores, c'est-à-dire supérieures à 15 000 Hz, - du domaine des fréquences infrasonores, c'est-à-dire inférieures à 16 Hz, du domaine des fréquences visibles (spectre de la lumière blanche, allant du violet au rouge), du domaine des fréquences invisibles, du domaine des fréquences laser, du domaine des champs électromagnétiques, et/ou du domaine des champs magnétiques, entre autres,
Le ou les SOEA peuvent être extérieurs et/ou intérieurs à l'excipient et/ou au contact de l'excipient.
Selon une variante optionnelle préférée du procédé conforme à l'invention, le rayonnement mis en oeuvre est flashé. En variante, ce rayonnement peut être puisé.
Selon une autre variante, également préférée et qui peut être combinée avec la précédente, l'information électromagnétique et/ou acoustique mise en oeuvre est polarisée.
Selon encore une autre variante du dit procédé selon l'invention, le flashage et/ou la polarisation et ou la pulsation concerne(nt) un filtre contenant un produit quelconque à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s) et/ou concerne(nt) un tel produit en lui-même à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s), et/ou concerne(nt) un ou plusieurs matériel(s) quelconque(s). L'invention a également pour objet des produits ayant un effet sur la santé, notamment des PACA, comportant une combinaison d'un PC et/ou d'un excipient-
diluant (EN) et de l'information introduite par le procédé selon l'invention, tel que décrit plus haut. Ledit produit, qualifié de PACA ou d'excipient-diluant informé, peut en option être soumis à des dilutions ou à des déconcentrations. Toutes les techniques de dilution et de déconcentration connues de l'homme du métier peuvent être utilisées. Ces déconcentrations peuvent être à titre d'exemple au dixième, au centième, au millième, etc.
Du point de vue réglementaire, lesdits produits alimentaires et compléments alimentaires sont régis par le décret français du 14 octobre 1997, et peuvent faire l'objet d'une évaluation par une instance qualifiée conformément au règlement CE No. 258/97 du 27 janvier 1997, relatif aux nouveaux aliments et aux nouveaux ingrédients alimentaires.
Le procédé selon l'invention et les caractéristiques des produits qu'il permet d'obtenir se sont avérés aller à rencontre des connaissances et de la pratique actuelles de l'homme du métier, pour qui l'absence d'action biologique des longueurs d'onde est corroborée par le fait que, par exemple dans le domaine des fréquences visibles, les producteurs de PC vendent leurs PC sans prêter attention à l'ambiance électromagnétique et/ou acoustique, comme par exemple les couleurs ou l'ambiance sonore.
Or, on a maintenant trouvé, de façon inattendue, selon la présente invention, que des rayonnements tels que définis ci-dessus procurent au contraire des effets favorables sur la santé à des produits n'ayant pas eux-mêmes d'effet thérapeutique propre notable, et on a en outre trouvé que le rayonnement est plus actif lorsqu'il est flashé et/ou puisé, technique qui n'a jamais été utilisée par l'homme du métier pour la fabrication de P \CA tels que ceux produits selon la présente invention. De manière tout aussi inattendue, on a trouvé que les résultats thérapeutiques obtenus sont améliorés lorsque l'information électromagnétique est polarisée, technique qui n'a, elle non plus, jamais été utilisée par l'homme du métier pour la fabrication de produits tels que ceux élaborés selon la présente invention.
Des exemples cliniques non limitatifs, relatés plus loin démontrent la puissance biologique de ces PACA.
Les PACA selon l'invention ne font pas partie de l'homéopathie. Ils ne font qu'emprunter, le cas échéant, la technique homéopathique de dilution, dont on n'est cependant pas tributaire, puisque toutes techniques de dilution ou de déconcentration de l'excipient traité selon l'invention peuvent être utilisées. Certes il existe, au niveau des nomenclatures des laboratoires homéopathiques, des souches obtenues par exposition simple à un rayonnement
électromagnétique, sans procédures de flashage, de pulsation ni de polarisation. Il s'agit des souches: Rayons infrarouge (lactose irradié aux rayons I.R.), Rayons ultraviolet (lactose irradié aux rayons U.V.), Rayons gamma (lactose irradié aux rayons gamma), Rayons X (éthanol irradié aux rayons X), Sol (lactose irradié aux rayons solaires), Luna (lactose irradié aux rayons lunaires). En application de la doctrine homéopathique, ces produits sont utilisés pour tenter de lutter contre les effets nocifs des mêmes rayonnements. Par exemple Sol est utilisé contre les effets négatifs pour la santé du rayonnement solaire (coups de soleil, brûlures, allergie); Rayons X est utilisé après l'exposition aux rayons X. En application de la doctrine homéopathique, certaines souches auraient fait l'objet d'une pathogénésie homéopathique, sans préjuger de la rigueur et de la pertinence cliniques, biologiques et statistiques de ces pathogénésies.
Mais il est connu que la lumière solaire est différente de la lumière blanche artificielle, en raison de deux phénomènes: 1 - le spectre visible solaire est différent dans sa température de couleur et dans la répartition des longueurs d'onde;
2 - le spectre du rayonnement solaire comprend, en plus du spectre visible, de nombreuses autres longueurs d'onde (invisibles), dont les ultraviolets et les infrarouges. C'est précisément en raison de la présence des infrarouges et des ultraviolets que Sol est utilisé, en homéopathie, contre les effets négatifs de ces longueurs d'onde. La lumière blanche (visible), qu'elle soit naturelle ou artificielle, ne comprenant ni les ultraviolets ni les infrarouges, n'expose à aucun risque concernant ces pathologies (coups de soleil, brûlure, allergie). Il s'agit donc d'une souche thérapeutique différente. Aucun des produits tels que revendiqués selon la présente invention n'a par ailleurs fait l'objet de pathogénésie, ainsi que l'exige la doctrine homéopathique.
Ces produits se sont pourtant révélés être particulièrement intéressants, comme on le montrera plus loin.
Le PACA et/ou l'excipient-diluant ainsi préparé selon l'invention peut être ensuite soumis à une ou plusieurs dilutions ou déconcentrations, dans des proportions et selon des méthodes connues, qui peuvent être celles couramment pratiquées dans le domaine des produits homéopathiques, mais peuvent également être effectuées par tous autres moyens à la portée de l'homme du métier.
Sans pour autant vouloir être lié par une quelconque théorie, on pense que les systèmes d'ondes mis en oeuvre selon l'invention dopent le PC ou l'excipient-diluant avec une information immatérielle qui, en elle-même et/ou en combinaison avec le
PC ou l'excipient-diluant, confère au produit ainsi élaboré une aptitude à générer un effet favorable sur la santé chez l'homme, les animaux, les végétaux et de manière générale tous les organismes vivants.
Selon une variante déjà évoquée plus haut du procédé conforme à l'invention, le rayonnement mis en oeuvre peut être flashé.
Selon une autre variante, qui peut être combinée avec la précédente, l'information électromagnétique mise en oeuvre peut être polarisée et/ou puisée.
Selon encore une autre variante du procédé selon l'invention, le flashage et/ou la polarisation et/ou la pulsation concernent un filtre contenant un produit quelconque à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s) et/ou concernent un tel produit en lui-même à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s), et/ou concernent un ou plusieurs matériel(s) quelconque(s).
Un autre objet encore de la présente invention est l'utilisation d'un tel produit pour l'obtention d'un PACA et/ou d'un excipient-diluant informé, présentant des propriétés satisfaisant aux lois de pharmacognosie ci-après: le PACA ou l'excipient-diluant informé ne présente aucun effet toxique
(hormis la toxicité éventuelle du PC, c'est-à-dire avant l'exposition au
SOEA), - l'effet sur la santé est aspécifique (effet eutrophique, renforçant général), l'effet sur la santé est spécifique dans le cas où le produit est obtenu au moyen d'un procédé mettant en oeuvre un rayonnement répondant à des spectres de fréquences ciblés, appartenant à un domaine ciblé du spectre visible, du spectre invisible et/ou du rayonnement acoustique, - l'effet sur la santé est renforcé par le flashage et/ou la polarisation et/ou la pulsation du système d'ondes électromagnétiques et ou acoustiques mis en oeuvre, l'effet sur la santé est optimal pour une déconcentration déterminée ou déterminable, variable selon les plages de fréquence des systèmes d'ondes mis en oeuvre.
Ainsi qu'il a déjà été indiqué plus haut, l'homéopathie, quant à elle, est définie de manière précise par un ensemble de lois (Loi homéopathique des
Semblables, principe homéopathique de globalité, principe homéopathique d'individualisation du traitement) que ne respectent aucunement les produits selon la présente invention. Ceux-ci n'appartiennent donc pas à l'homéopathie.
Les PACA et/ou excipients-diluants informés élaborés selon l'invention sont composés d'une souche nouvelle, obtenue par l'exposition d'un PC et/ou d'un excipient-diluant à au moins un rayonnement choisi parmi la lumière blanche sans infrarouge ni ultraviolet (LB), une ou plusieurs couleur(s) spécifique(s) (rouge, bleue, rose, orange, jaune, grise, noire, verte, etc.), une ou plusieurs longueur(s) d'onde(s) quelconques(s) appartenant au spectre de la lumière blanche LB (du violet au rouge), une ou plusieurs longueurs d'ondes quelconques appartenant au spectre de la lumière invisible, une information acoustique, un rayonnement laser, des champs électromagnétiques et/ou des champs magnétiques, et en option à une technique de flashage lumineux et/ou à une technique de polarisation lumineuse et/ou à une technique de pulsation des ondes appliquées.
Or, l'exposition d'un PC ou d'un excipient-diluant à un rayonnement de fréquences électromagnétiques et/ou un rayonnement acoustique n'est pas connue, dans l'état actuel des connaissances de l'homme du métier, pour avoir un quelconque effet ni pathologique, ni biologique. Les êtres humains, entre autres, sont d'ailleurs en permanence exposés à de tels rayonnements dans leur vie quotidienne.
La toxicité des produits ainsi élaborés est nulle (hormis la toxicité éventuelle des PC, c'est-à-dire avant l'exposition au SOEA) et non, comme pour les produits réputés toxiques, à partir de la 4 DH ou 2 CH (Réglementation. Médicaments homéopathiques: des AMM extra light, La Revue Prescrire, mai 1998, tome 8, n°
184, page 355).
Au surplus, l'information lumineuse ou électromagnétique est immatérielle. Elle ne nécessite aucun contact matériel direct avec l'excipient exposé à cette lumière. Cette information peut être transmise à travers une paroi étanche transparente, par exemple à travers le verre transparent du flacon contenant l'excipient. De même, il est possible d'émettre un rayonnement acoustique, par exemple, au-dessus de l'excipient neutre, sans qu'il y ait de contact physique direct.
Il n'y a donc aucun risque de transmission de maladies infectieuses, contrairement à ce qui est, actuellement, supputé être le cas par l'infectiologue et, au-delà, par le législateur, en ce qui concerne de nombreuses préparations homéopathiques.
Quant aux produits selon l'invention, en raison même de leur mode de fabrication, la sécurité sanitaire de non-contagiosité (sécurités virale, bactérienne, parasitaire et vis-à-vis des prions ou de tous autres germes pathogènes ou non) est absolue.
Dans la suite de la description seront fournis des exemples de mise en oeuvre concrets, concernant notamment des produits à effet eutrophique, immunostimulant, améliorant le confort circulatoire, nerveux et articulaire.
En ce qui concerne la dilution ou déconcentration mise en oeuvre dans le procédé selon l'invention, on peut utiliser l'une quelconque des techniques de dilution ou déconcentration connues, qui seront appelées dans la suite pour simplifier techniques de déconcentration. A titre d'exemples non limitatifs, on peut employer les techniques suivantes: trituration (pour des excipients solides) ou dilution au centième (C) ou au dixième (D ou X). En cas de déconcentration, il est conseillé d'homogénéiser la préparation entre chaque déconcentration. Toutes les techniques d'homogénéisation peuvent être utilisées. A titre d'exemples on peut utiliser la succussion ou le vortex (par exemple
5 millilitres dans une éprouvette agitée au vortex "Top-Mix 20" à 200 tours par minute pendant 5 secondes, amplitude 4,5 millimètres). L'étape optionnelle d'imprégnation que peut comporter le procédé selon l'invention peut s'effectuer selon des techniques connues de l'homme du métier. Elle peut être mise en oeuvre, par exemple, par imprégnation d'un excipient neutre, comme par exemple des granules ou des globules neutres formés à partir de saccharose, de lactose ou d'autres excipients appropriés. Une procédure d'imprégnation appropriée est décrite par exemple dans Galenica 16, Médicaments homéopathiques, 2ème édition, op. cité, page 91-99.
Les monographies des granules, globules et comprimés neutres pour usage homéopathique publiées sous la forme de notes techniques "Pro Pharmacopoea" No. 213 pour les granules, No. 214 pour les globules et No. 215 pour les comprimés (Notes techniques Pro Pharmacopea n° 213, 214, 215, Bulletin de l'Ordre des Pharmaciens n° 270, décembre 1983, p. 968-974) comportent une description s'y rapportant.
A titre d'exemples, on peut illustrer comme suit les modalités opératoires de l'imprégnation: Elle consiste à fixer la dilution du PACA et/ou de l'excipient-diluant informé sur un support neutre, par exemple des granules, des globules, des comprimés, des poudres, etc.
Les granules neutres sont de petites sphères de 0,05 g environ, constituées de saccharose et de lactose. Les globules neutres sont de petites sphères d'un poids de 0,003 à 0,005 g, constituées de saccharose et de lactose.
Les comprimés neutres ont un poids d'environ 0,10 g et sont élaborés par un procédé de pastillage approprié, à partir de saccharose et de lactose ou d'un mélange des deux.
Les globules neutres, les granules neutres et les comprimés neutres sont imprégnés avec la dilution susmentionnée dans la proportion d'environ 1 % en volume/poids (v/p).
Après l'imprégnation, les globules neutres, les granules neutres et les comprimés neutres sont agités suffisamment pour que l'on obtienne une imprégnation homogène, et séchés à une température inférieure à 40° C. Parmi les multiples présentations que peuvent prendre les PACA et/ou excipients-diluants informés selon l'invention, on peut citer notamment les gouttes, les solutions en ampoules, les solutés injectables, les granules, les globules, les comprimés et les poudres.
Les gouttes sont des solutions buvables destinées à être administrées par gouttes. On utilise en pratique pour la dernière déconcentration l'alcool à 30% en v/v.
Les solutions en ampoules sont des solutions buvables, que l'on prépare en utilisant par exemple comme véhicule de la dernière déconcentration de l'alcool à 15% en v/v. On peut utiliser un véhicule non alcoolique stérilisé (par exemple par passage des ampoules à l'autoclave à 120°C pendant 45 minutes), comme par exemple de l'eau codex (aqua simplex). Une telle préparation peut être prescrite aux enfants dès la naissance.
Les solutions injectables sont préparées avec de l'eau pour préparations injectables comme véhicule pour la dilution immédiatement inférieure à celle délivrée et le soluté chlorure de sodium à 0,9% comme véhicule pour la dernière déconcentration. Dans la pratique la procédure de préparation et de mise en ampoules est accompagnée des essais de stérilité prévus au Codex.
Les PACA et/ou excipients-diluants informés selon l'invention peuvent également être préparés et/ou conditionnés sous forme de gaz. A titre d'exemple de préconisation pour un effet sur la santé des produits selon l'invention issus des dilutions-homogénéisation, on recommande l'utilisation de la dernière dilution-dynamisation alcoolique ou du produit résultant de la trituration de poudres, directement en tant que PACA et/ou excipient-diluant informé, par exemple à raison de:
en ce qui concerne la dilution liquide, 0,2 millilitre dilué dans une cuillère à café d'eau du robinet, à garder pendant 1 minute sous la langue, au réveil, à 12 heures, à 20 heures et au coucher, ou en ce qui concerne les excipients solides, issus de trituration, à raison de 1 mesurette rase (mesurette de 0,2 g), à garder pendant 2 minutes sous la langue, au réveil, à 12 heures, à 20 heures et au coucher. On peut remplacer la mesurette par une dose-globule pour les doses-globules et par 10 granules pour les PACA et/ou excipients-diluants informés en granules.
Ainsi, selon une forme de réalisation de l'invention, un excipient neutre n'ayant pas d'effet thérapeutique propre notable peut être converti en médicament par le procédé et par les moyens selon l'invention.
Sans pour autant vouloir être lié par une quelconque théorie, on pense que les systèmes d'ondes mis en oeuvre selon l'invention dopent l'excipient neutre avec une information immatérielle qui, en elle-même et/ou en combinaison avec l'excipient neutre, confère au produit ainsi élaboré une aptitude à générer un effet thérapeutique nouveau chez l'homme et les animaux.
On a en effet trouvé de manière inattendue que les produits élaborés au moyen du procédé selon l'invention, non seulement ne satisfont pas à la loi des semblables propre à l'homéopathie (fondée sur l'administration à doses très faibles de substances capables de provoquer chez l'homme sain des manifestations semblables aux symptômes présentés par le malade), ni aux autres lois concourant à la définition de l'homéopathie, mais répondent à d'autres lois qui, comme on le montrera plus loin, pourraient constituer les bases d'une nouvelle pharmacognosie.
C'est donc uniquement par commodité et par référence aux dilutions infinitésimales, et à la limite immatérielles, que l'on conserve ici parfois l'expression de produits à effet homéopathique ou de médicament homéopathique, alors même que les produits élaborés par le procédé selon l'invention ne sont pas des produits homéopathiques au sens strict, mais plutôt des produits à activité thérapeutique.
On entend ici par excipient au sens de l'invention toute substance pharmacologiquement neutre ou inerte, c'est-à-dire sans propriété pharmacologique, hors l'effet placebo. Un tel excipient sera étudié en détail plus loin.
Selon l'invention, on utilise des informations électromagnétiques et/ou acoustiques en combinaison avec des excipients classiques et/ou inusités, ainsi que cela sera détaillé plus loin. Le procédé selon l'invention et les caractéristiques des produits qu'il permet d'obtenir se sont avérés aller à encontre des connaissances et de la pratique
actuelles de l'homme du métier, pour qui l'absence d'action thérapeutique des longueurs d'onde est corroborée par le fait que, par exemple dans le domaine des fréquences visibles, les laboratoires homéopathiques ont recours à des tubes de différentes couleurs sans que cela interfère, selon l'Homme de l'art, sur l'action des remèdes homéopathiques.
C'est ainsi que les laboratoires homéopathiques utilisent plusieurs couleurs de tubes dans un souci de meilleure observance thérapeutique (couleur du tube définie en fonction de l'ordre alphabétique des remèdes ou encore selon la hauteur de la dilution), ou encore couleurs variant selon le mode de remboursement par les organismes sociaux.
A titre d'exemples: - Les laboratoires Dolisos ont recours à 6 couleurs différentes de tubes couleur suivant l'ordre alphabétique des remèdes, pour le conditionnement de leurs granules homéopathiques: tubes bleu, vert, jaune, rouge, rose, gris. - Les laboratoires Boiron ont recours à 7 couleurs différentes de tubes couleur suivant la hauteur de la dilution centésimale, pour le conditionnement de leurs granules homéopathiques: tubes jaune pour les 4 CH, vert pour les 5 CH, rouge pour les 7 CH, bleu pour les 9 CH, bleu clair pour les 12 CH, marron pour les 15 CH et

- Ces différentes couleurs exposent les granules, au moins lors de leur chute dans le capuchon verseur, à la couleur du tube, qui est toujours la même. L '"information" pourtant subtile en rapport avec les dilutions infinitésimales, souvent immatérielles ["il est manifeste que, même pour des dilutions dites basses (4CH), les contrôles de routine ne permettent pas de déceler la présence des substances. "- Poitevin B., Le devenir de l'homéopathie. Eléments de Théorie et de
Recherche, p. 13, éd Doin, Paris 1987] des produits homéopathiques n'est pas considérée par l'homme du métier comme étant affectée, d'une quelconque façon, par les couleurs jugées sans effet significatif, quel qu'il soit, sur l'activité de ces remèdes. - De même, on n'a jamais décrit que les couleurs de l'environnement du patient lors des prises pouvaient avoir un quelconque effet sur l'activité des produits homéopathiques. De façon analogue, l'ambiance sonore n'a jamais été indiquée comme pouvant avoir un quelconque effet ou générer une quelconque interférence sur l'activité des remèdes homéopathiques. Or, comme on l'a exposé plus haut, on a maintenant trouvé, de façon inattendue, selon la présente invention, que des rayonnements tels que définis ci-
dessus procurent au contraire des effets thérapeutiques, et on a en outre trouvé que le rayonnement est plus actif lorsqu'il est flashé et/ou puisé, technique qui n'a jamais été utilisée par l'homme de l'art, pour la fabrication de produits tels que ceux produits selon la présente invention. De manière tout aussi inattendue, on a trouvé que les résultats thérapeutiques obtenus sont améliorés lorsque l'information électromagnétique est polarisée, technique qui n'a, elle non plus, jamais été utilisée par l'homme de l'art, pour la fabrication de produits ayant des effets bénéfiques sur la santé, tels que ceux produits selon la présente invention. Des exemples cliniques non limitatifs, relatés plus loin, démontrent la puissance thérapeutique de ces nouveaux produits, puissance thérapeutique qu'il est impossible d'atteindre, d'après les connaissances actuelles de l'homme du métier, avec les médicaments homéopathiques existants.
Les nouveaux produits à effets bénéfiques sur la santé selon l'invention ne font pas partie de l'homéopathie. Ils ne font qu'emprunter, le cas échéant, la technique homéopathique de dilution, dont on n'est cependant pas tributaire, puisque toutes techniques de dilution ou de déconcentration de l'excipient traité selon l'invention peuvent être utilisées. En effet l'homéopathie ne se définit pas uniquement par le recours à une technique de déconcentration de matière - technique couramment utilisée en dehors du champ de l'homéopathie -, mais par un corpus de lois précises, que ne suivent pas les produits élaborés selon la présente invention, ainsi que cela sera montré plus loin.
Certes il existe, au niveau des nomenclatures des laboratoires homéopathiques, des souches obtenues par exposition simple à un rayonnement électromagnétique, sans procédures de flashage, de pulsation ni de polarisation. Il s'agit des souches: Rayons infrarouge (lactose irradié aux rayons I.R.), Rayons ultraviolet (lactose irradié aux rayons U.V.), Rayons gamma (lactose irradié aux rayons gamma), Rayons X (éthanol irradié aux rayons X), Sol (lactose irradié aux rayons solaires), Luna (lactose irradié aux rayons lunaires). En application de la doctrine homéopathique, ces produits sont utilisés pour tenter de lutter contre les effets nocifs des mêmes rayonnements. Par exemple Sol est utilisé contre les effets négatifs pour la santé du rayonnement solaire (coups de soleil, brûlures, allergie); Rayons X est utilisé suite à l'exposition aux rayons X. En application de la doctrine homéopathique, certaines souches auraient fait l'objet d'une pathogénésie homéopathique, sans préjuger de la rigueur et de la pertinence cliniques, biologiques et statistiques de ces pathogénésies.
Mais il est connu que la lumière solaire est différente de la lumière blanche artificielle, en raison de deux phénomènes:
- le spectre visible solaire est différent dans sa température de couleur, la répartition des longueurs d'onde; - le spectre du rayonnement solaire comprend, en plus du spectre visible, de nombreuses autres longueurs d'onde (invisibles), dont les ultraviolets et les infrarouges. C'est précisément en raison de la présence des infrarouges et des ultraviolets que Sol est utilisé, en homéopathie, contre les effets négatifs de ces longueurs d'onde. La lumière blanche (visible), qu'elle soit naturelle ou artificielle, ne comprenant ni les ultraviolets ni les infrarouges, n'expose à aucun risque concernant ces pathologies (coups de soleil, brûlure, allergie). Il s'agit donc d'une souche thérapeutique différente.
Aucun des produits tels que revendiqués dans la présente demande de brevet n'a par ailleurs fait l'objet de pathogénésie ainsi que l'exige la doctrine homéopathique.
Ces produits sont donc particulièrement intéressants, comme on le montrera plus loin.
Un autre objet encore de la présente invention est l'utilisation d'un tel produit pour l'obtention d'un médicament ou d'un alicament procurant des effets bénéfiques sur la santé, notamment selon les lois de pharmacognosie ci-après: le médicament ne présente aucun effet toxique et/ou iatrogène, l'activité thérapeutique est aspécifique, l'activité thérapeutique est spécifique dans le cas où le produit est obtenu au moyen d'un procédé mettant en oeuvre un rayonnement répondant à des spectres de fréquences ciblés, appartenant à un domaine ciblé du spectre visible, du spectre invisible et/ou du rayonnement acoustique, l'activité thérapeutique est renforcée par le flashage et/ou la polarisation et/ou la pulsation du système d'ondes électromagnétiques et/ou acoustiques mis en oeuvre, - l'activité thérapeutique est optimale pour une déconcentration déterminée ou déterminable, variable selon les plages de fréquence des systèmes d'ondes mis en oeuvre.
Ainsi qu'il a déjà été indiqué plus haut, l'homéopathie, quant à elle, est définie de manière précise par un ensemble de lois, que ne respectent aucunement les produits selon la présente invention. Ceux-ci n'appartiennent donc pas à l'homéopathie.
Les différences essentielles sont: - non respect de la Loi homéopathique des Semblables: Si l'on prend l'exemple des rayonnements lumineux, ces rayonnements appartiennent au spectre des longueurs d'onde visibles. Ils ne sont pas connus pour développer un quelconque effet pathologique. De ce fait, ils ne peuvent pas donner naissance à des médicaments homéopathiques susceptibles d'agir pour contrecarrer des effets négatifs. Cela signifie qu'ils ne peuvent pas être prescrits par application de la Loi des Semblables, fondement de l'Homéopathie (homéo: semblable, en similitude, par opposition à allô: opposé). L'homéopathie est la " Pharmacologie de la Similitude ". " L'homéopathie est une méthode thérapeutique, basée sur l'administration à doses très faibles de substances capables de provoquer chez l'homme sain des manifestations semblables aux symptômes présentés par le malade.
L'application correcte de la méthode implique la comparaison de l'ensemble des symptômes de l'affection et des réactions individuelles du malade avec la pathogénésie du médicament utilisé.
Le médicament élaboré selon l'invention n'est donc pas homéopathique en lui- même, ou parce qu'il est prescrit à doses infinitésimales, mais uniquement parce que son administration répond à la loi des semblables.
Les médicaments sont capables de guérir des maladies analogues à celles qu'eux-mêmes ont l'aptitude de produire.
Ainsi l'intoxication aiguë par la belladonne provoque de la fièvre avec chaleur intense, tête congestionnée et rouge avec dilatation des pupilles, transpiration chaude surtout marquée à la face, pouls fréquent, dur, fort, abattement profond. Le sujet intoxiqué recherche le calme et réagit à la moindre secousse. Si la température est élevée, le délire est fréquent. La gorge est sèche, enflammée, d'un rouge brillant, la déglutition est difficile.
L'existence de symptômes analogues chez un malade qui commence une angine, par exemple, signe l'indication homéopathique de Belladonna.
L'intoxication par le mercure peut susciter de la fièvre précédée de frissons à fleur de peau. Elle s'accompagne d'une transpiration abondante, à odeur forte, pire la nuit et qui ne soulage pas. La soif est vive avec salivation abondante, bouche humide, haleine fétide. La langue épaisse, élargie, saburrale, garde l'empreinte des dents.
Chez un malade, une angine se caractérisant par ces symptômes, conduit à la prescription homéopathique de Mercurius solubilis.
Belladonna et Mercurius solubilis, pour employer la nomenclature latine à laquelle les médecins homéopathes sont restés fidèles puisqu'ils utilisent des substances simples, ont bien d'autres applications, suivant les symptômes cliniques auxquels ils sont susceptibles de correspondre". (Galenica 16 , Médicaments homéo- pathiques, 2ème édition, op. cité, pages 38-39).
Cette correspondance est définie par ce que les homéopathes appellent la Loi des Semblables ou Loi d'Analogie (ibid.), voir plus haut).
" Un médicament n'est pas homéopathique par lui-même, c'est la prescription, sous l'angle de la thérapeutique hahnemannienne en application de la loi de similitude, qui destine la ou les substances actives à un usage homéopathique " (ibid., page 77).
- non recours à une " pathogénésie ": Les indications cliniques définies dans la présente demande de brevet ne font pas appel à cette Loi des Semblables pour une deuxième raison: le non-recours à une " pathogénésie ". En effet, le respect de la Loi des Semblables ne nécessite pas seulement la prise en compte des signes toxiques du produit, mais aussi le recours à une " pathogénésie ". Une " pathogénésie " est le compte rendu du recueil des symptômes pathologiques cliniques et biologiques qui apparaissent, chez le sujet jusque là en bonne santé, lors de l' administration expérimentale d'un produit chez ce sujet. Le médecin homéopathe prescrit, à dose infinitésimale, le produit qui déclenche, lors de la " pathogénésie ", des symptômes semblables (analogues) à ceux présentés par le patient à traiter. Au contraire, les produits tels que revendiqués dans la présente demande de brevet ne sont pas prescrits en fonction de " pathogénésies ", mais, uniquement, en fonction de l'activité constatée de manière inattendue, au niveau clinique et quels que soient les individus, et dont la connaissance peut être acquise et mémorisée à partir d'expérimentations préliminaires, qui sont à la portée de l'homme du métier.
- non respect du principe homéopathique de globalité: Les indications cliniques des produits revendiqués ne respectent pas la Loi de Globalité: encore appelée Loi de l' " Unité biologique réactionnelle " (op. cité, pages 40-41) de la doctrine homéopathique. " Quels que soient le cas et l'étiologie, le médicament est indiqué sur un ensemble réactionnel somato-psychique caractéristique de son action toxique et pathogénétique. (...) Pour être homéopathique à un état morbide considéré, le médicament doit correspondre à un ensemble somato-psychique comprenant les signes pathognomoniques les plus caractéristiques de la maladie associés aux signes les plus caractéristiques de la réaction individuelle du malade à sa maladie. " (ibid.). Cela signifie que le remède homéopathique est prescrit sur une
somme importante de symptômes à la fois physiques et psychiques, spécifiques d'un individu donné lors du développement de sa maladie, ces symptômes étant en similitude avec ceux provoqués par l'action toxique et pathogénétique du remède homéopathique administré chez l'individu sain (" Unité réactionnelle ", à la fois, à la maladie et à l'action toxique et pathogénétique du remède). Au contraire, les produits tels que revendiqués dans la présente demande de brevet sont prescrits comme un médicament allopathique sur une action biologique ciblée, quel que soit l'individu, par exemple: activité an ti- inflammatoire ou circulatoire. Cette activité ne prend pas en compte l' " Unité biologique réactionnelle " à la maladie et à l'action toxique et pathogénétique du remède homéopathique.
- non respect du principe homéopathique d'individualisation: Le remède homéopathique est défini en fonction de l'ensemble réactionnel symptomatique d'un individu donné et non en fonction d'une action pharmacologique ponctuelle définie pour l'ensemble de la population. C'est ainsi qu'il n'existe pas à proprement parler de médicament homéopathique antibiotique, anti-inflammatoire ou antalgique, mais des remèdes qui vont développer un ensemble d'activités sur les différentes fonctions physiologiques d'un individu donné considéré dans sa singularité réactive. "L'Homéopathie est une thérapeutique individualisée" (Galenica 16, Médicaments homéopathiques, 2ème édition, op. cité, pages 42-44). Il n'en est rien avec les produits tels que revendiqués dans la présente demande de brevet. En effet, les produits tels que revendiqués ne prennent pas en compte, comme en homéopathie, l'individualisation du médicament par rapport à un individu, à sa singularité réactive à la maladie et au remède, mais sont définis, comme en allopathie, en fonction d'une action pharmacologique générale, quel que soit l'individu concerné. En ce qui concerne les produits à activité de médicaments ou d'alicaments selon la présente invention, comme indiqué plus haut: l'activité thérapeutique est aspécifique, l'activité thérapeutique est spécifique dans le cas où le produit est obtenu au moyen d'un procédé mettant en oeuvre un rayonnement répondant à des spectres de fréquences ciblés, appartenant à un domaine ciblé du spectre visible, du spectre invisible et/ou du rayonnement acoustique, l'activité thérapeutique est renforcée par le flashage et/ou la polarisation et/ou la pulsation du système d'ondes électromagnétiques et/ou acoustiques mis en oeuvre,
l'activité thérapeutique est optimale pour une déconcentration déterminée ou déterminable, variable selon les plages de fréquence des systèmes d'ondes mis en oeuvre.
Les produits à activité de médicaments ou d'alicaments élaborés selon l'invention sont composés d'une souche médicamenteuse nouvelle, obtenue par l'exposition d'un excipient neutre (EN 1) à la lumière blanche sans infrarouge ni ultraviolet (LB), à une ou plusieurs couleur(s) spécifique(s) (rouge, bleue, rose, orange, jaune, grise, noire, verte, etc.), à une ou plusieurs longueur(s) d'onde(s) quelconques(s) appartenant au spectre de la lumière blanche LB (du violet au rouge), à une ou plusieurs longueurs d'ondes quelconques appartenant au spectre de la lumière invisible, à une information acoustique, à un rayonnement laser, à des champs électromagnétiques et/ou à des champs magnétiques, et en option à une technique de flashage lumineux et/ou à une technique de polarisation lumineuse et/ou à une technique de pulsation des ondes appliquées. Or, l'exposition d'un excipient pharmaceutique neutre (EN) (par exemple des granules ou des globules neutres ou de l'alcool neutre) à un rayonnement de fréquences électromagnétiques et/ou un rayonnement acoustique (et permettant d'obtenir la TM souhaitée) n'est pas connue, dans l'état actuel des connaissances de l'homme du métier, pour avoir un quelconque effet ni pathologique, ni thérapeutique. Rappelons que nous sommes en permanence exposés à de tels rayonnements dans la vie quotidienne.
La toxicité des produits ainsi élaborés est nulle, dès la TM, c'est-à-dire à partir de celle-ci (donc y compris sous forme alimentaire ou sous forme de spécialité allopathique) et non, comme pour les produits réputés toxiques, à partir de la 4 DH ou 2 CH (Réglementation. Médicaments homéopathiques: des AMM extra light, La
Revue Prescrire, mai 1998, tome 8, n° 184, page 355).
Au surplus, l'information électromagnétique, par exemple lumineuse, et/ou acoustique est immatérielle. Il n'y a donc aucun risque de transmission de maladies infectieuses, contrairement à ce qui est, actuellement, supputé par l'infectiologue et, de là, par le législateur, en ce qui concerne de nombreuses préparations homéopathiques.
Ce risque infectieux supputé est à l'origine de l'interdiction récente: des souches homéopathiques d'origine bovine, en 1992 (Vaches folles, La
Revue Prescrire, 1992, tome 12 , n°121, p. 412-413.) et humaine, en 1998 (Homéopathie, Interdictions des souches homéopathiques d'origine humaine, La
Revue Prescrire, 1999, tome 19, n° 191, p. 31; et Décision de l' Agence du
Médicament parue au Journal Officiel du 05/11/1998: " Considérant que la sécurité d'emploi des médicaments homéopathiques préparés à partir de souches d'origine humaine n'est pas garantie compte tenu du risque de transmission de virus conventionnels et d'agents transmissibles non conventionnels présenté par les produits biologiques d'origine humaine (...) "), de souches homéopathiques d'origine biologique non humaine aux dilutions inférieures à la 4 CH, en 1999 (Courrier du 6 janvier 1999 adressé par l'Agence du Médicament à tous les laboratoires homéopathiques, dispositions appliquées à compter du 22 janvier 1999), - de la technique d' auto-isothérapie, en 1998 : Les Auto-isothérapiques sont des médicaments homéopathiques obtenus à partir d'un prélèvement biologique fourni par le malade auquel la préparation est destinée (sang, pus, urine, squame, ...) (Galenica 16, Médicaments homéopathiques, 2ème édition, op. cité, page 84), par opposition aux Hétéro-isothérapiques, qui sont toutes substances, quelles qu'elles soient, qui ne sont pas obtenues à partir du patient auquel le médicament est destiné, (ibid., page 85).
Au contraire, en ce qui concerne les produits selon l'invention, en raison même de leur mode de fabrication, la sécurité sanitaire de non-contagiosité (sécurités virale, bactérienne, parasitaire et concernant les prions ou tous autres germes pathogènes ou non) est absolue.
Dans la suite de la description sont maintenant fournis des exemples de réalisations concrètes, concernant notamment des produits à visée cicatrisante, des produits à visée nerveuse et psychique, des produits à visée circulatoire, des produits à visée rhumatologique, des produits à visée nerveuse, psychique, dermatologique et immunitaire, et des produits à visée anti-infectieuse et anti-allergique.
En ce qui concerne l'excipient neutre et/ou le diluant traité dans le procédé selon l'invention, ils peuvent être choisis en premier lieu parmi les excipients- diluants habituellement utilisés en homéopathie. L'excipient-diluant habituel en homéopathie est l'éthanol et/ou le lactose et/ou le saccharose. Un excipient approprié selon la présente invention peut également être un mélange glycérine-alcool, tel que ceux mis en oeuvre dans la gemmothérapie, dans laquelle des macérats glycérines de bourgeons, de jeunes pousses, de radicelles, de semences ou d'écorces fraîches de plantes sont mis en oeuvre dans un tel mélange glycérine-alcool. L'utilisation de la glycérine dans la fabrication des produits tels que revendiqués ne peut être comparée avec l'action dissolvante de la glycérine lors de la
macération des drogues végétales (en gemmotherapie, par exemple). En effet, dans cette préparation d'un macérât (gemmotherapie, phytothérapie), la glycérine est utilisée afin d'extraire des principes actifs de la plante, ce qui n'est aucunement le cas lors de l'utilisation du (des) tensioactif(s) et/ou de la glycérine, ainsi qu'il est préconisé ici, puisque dans la présente demande de brevet, il n'y a aucun principe actif matériel à extraire (simple exposition du(des) tensioactif(s) et/ou de la glycérine à un rayonnement).
Il faut noter à ce propos que la glycérine n'est pas utilisée en homéopathie, que ce soit pour la fabrication des TM ou pour la préparation de déconcentrations de TM (la gemmotherapie ne fait pas partie de l'homéopathie mais de la phytothérapie, c'est-à-dire de l'allopathie).
Selon l'invention, l'excipient mis en oeuvre peut avantageusement être également choisi parmi les agents de surface ou tensio-actifs et/ou les détergents, et notamment les agents de surface anioniques, cationiques, amphotères ou non- ioniques.
Selon l'invention, les excipients de ces catégories et d'autres peuvent également être utilisés à titre de diluants dans les phases opératoires de déconcentration et/ou dynamisation des teintures-mères (en abrégé TM), qui sont optionnelles selon la présente invention. Le diluant peut alors être un produit identique à l'excipient, mais il peut aussi en être différent.
A titre d'exemples non limitatifs, on peut ainsi mentionner comme excipients-diluants utiles selon l'invention les sels d'acide gras, les acides gras, comme notamment l'ester laurique d'acide palmitoléique ou PALE (Palmitoleic Acid Lauryl Ester) à raison de 100 mg dans 40 ml d'eau officinale pour préparation injectable ou eau purifiée (aqua purificata) telle que définie par la Pharmacopée française. Un exemple de mise en oeuvre de ce type est le suivant: On a dissous 100 mg de PALE dans 40 cm3 d'eau officinale pour préparations injectables. Soit A la désignation de cette solution. On a, à titre d'exemple, irradié cette " solution A " avec un rayonnement conforme à la présente invention (soit TM la teinture-mère irradiée obtenue). Les déconcentrations ultérieures de la TM peuvent se faire dans le même véhicule que celui de la solution A et/ou dans tout autre excipient. Le transfert de l'information thérapeutique dans un solvant quelconque, par exemple de l'alcool à 60°, peut se faire à titre d'exemple de la manière suivante: 1 cm3 de la TM (teinture- mère irradie ou dilution de cette TM irradiée) a été mélangé à 99 cm3 d'alcool à 60°, pour une dilution au centième. On a par exemple secoué le flacon 100 fois. L'imprégnation pouvait se faire avec la TM ou avec toute déconcentration de cette
TM et/ou avec un diluant quelconque (par exemple de l'alcool à 60°). Dans le cas où l'on imprégnait directement avec la TM ou toute déconcentration de cette TM, on procédait par exemple comme indiqué plus loin en relation avec l'imprégnation lorsque le véhicule utilisé est de l'alcool. Un excipient-diluant gazeux est également envisageable. On peut ainsi utiliser tous les gaz en tant qu'excipients et diluants. A titre d'exemple, on utilise de l'oxygène, par exemple sous forme d'ozone. Le flacon d'oxygène est irradié par le rayonnement (obtention de la teinture-mère gazeuse). Les déconcentrations ultérieures se font dans du gaz et/ou dans tout autre excipient. Ainsi, si l'on utilise le gaz, il suffit de prélever, par exemple, 1 millilitre d'oxygène et de le diluer dans 99 millilitres d'oxygène (dilution centésimale). On secoue le flacon par exemple 100 fois. Si l'on veut transférer l'" information " thérapeutique dans un solvant liquide, on peut, à titre d'exemple, faire barboter 1 millilitre d'oxygène (de la teinture-mère gazeuse ou de toute déconcentration gazeuse de cette TM gazeuse) dans 99 millilitres d'alcool, par exemple à 60°. Par exemple : on agite 100 fois le flacon contenant l'alcool à 60° et l'oxygène. L'imprégnation des excipients solides peut se faire directement avec la dilution gazeuse, la teinture-mère gazeuse ou le diluant liquide (par exemple l'alcool à 60°). Si l'on utilise le procédé d'imprégnation directement dans le gaz, par exemple de l'oxygène, on injecte dans un flacon de 1 litre contenant, par exemple, 200 milligrammes de granules (petites sphères de 0,05 g environ, constituées de saccharose et de lactose) 1 millilitre du gaz servant à l'imprégnation. On secoue le flacon 100 fois et on le laisse au repos au moins pendant 3 heures.
L'activité clinique des produits ainsi obtenus et préconisés selon l'invention ne peut être considérée comme ayant un rapport avec la déconcentration de l'excipient-diluant (par exemple un agent de surface) et non avec l'" information " provenant du rayonnement utilisé selon la présente invention. Une telle supposition ne pourrait en effet résister à l'analyse, notamment pour les raisons ci-après:
1 - Les produits obtenus sont actifs sans l'utilisation d'agents de surface en tant qu'excipient-diluant;
2 - L'activité de l'excipient-diluant ne peut rendre compte des activités cliniques spécifiques et différentes des produits obtenus par le procédé selon l'invention, qui sont très diverses étant donné les types de rayonnements variés possibles, alors qu'un même excipient devrait donner une seule et même activité; 3 - l'éthanol - utilisé habituellement en qualité d'excipient-diluant en homéopathie - possède des propriétés biologiques importantes et n'en est pas moins
considéré comme pharmacologiquement neutre au niveau des activités biologique, pharmacologique et clinique des dilutions homéopathiques; ce fait n'empêche pas l'utilisation de l'éthanol en tant que souche homéopathique à part entière (en dilution homéopathique, diluée dans l'éthanol: souche dénommée ethylicum); 4 - toujours en homéopathie, le relargage de particules de silice à partir des parois des récipients utilisés lors des opérations de déconcentration n'est pas considéré comme interférant avec les activités biologique, pharmacologique et clinique des hautes dilutions, non-matérielles; ce fait n'empêche pas non plus l'utilisation de la silice en tant que souche homéopathique à part entière (en dilution homéopathique: souche dénommée silicea);
5 - en phytothérapie (gemmotherapie), la glycérine utilisée pour son action dissolvante des substrats végétaux, est considérée comme pharmacologiquement neutre (macérats glycérines); là encore, ce fait n'empêche pas l'utilisation de la glycérine en tant que souche homéopathique à part entière (en dilution homéopathique: souche dénommée glycérine);
6 - de nombreuses souches biologiques sont utilisées en homéopathie, ces souches étant prélevées et conservées dans des milieux contenant des produits considérés comme des excipients, bien qu'étant biologiquement actifs; c'est le cas, par exemple, des souches: aviaire (tuberculine provenant de cultures de Mycobacterium tuberculosis d'origine aviaire), influenzinum (vaccin antigrippal), V.A.B. (vaccin B.C.G.).
En ce qui concerne la dilution ou déconcentration mise en oeuvre dans le procédé selon l'invention, on peut utiliser l'une quelconque des techniques de dilution ou déconcentration connues, qui seront appelées dans la suite pour simplifier techniques de déconcentration. A titre d'exemples non limitatifs, on peut employer les techniques suivantes: trituration (pour des excipients solides) ou dilution au centième (CH) ou au dixième (DH) ou encore dilution selon la technique connue dite technique de Korsakoff, ou encore dilution selon la technique de dilutions cinquante millésimales, ou encore dilution selon la technique dite de fluxion continue. (Galenica 16, Médicaments homéopathiques, 2ème édition, op. cité, pages 91-99).
La dynamisation, qui est une étape optionnelle du procédé selon l'invention, peut être effectuée: pour les excipients liquides, par un nombre quelconque de succussions (à titre d'exemples non limitatifs, on peut avoir recours à un minimum de 100 succussions); pour les excipients solides pulvérulents, par trituration, la dynamisation résulte alors du frottement des grains de poudre.
Les globules neutres, les granules neutres et les comprimés neutres sont avantageusement imprégnés avec la dilution susmentionnée dans la proportion de 1% en volume/poids (v/p).
Après l'imprégnation, les globules neutres, les granules neutres et les comprimés neutres sont de préférence agités suffisamment pour que l'on obtienne une imprégnation homogène et séchés à une température inférieure à 40°C.
Parmi les multiples présentations pharmaceutiques que peuvent prendre les produits utiles comme médicaments selon l'invention, on peut citer notamment les gouttes, les solutions en ampoules, les solutés injectables, les préparations pour lavement intestinal, les collyres, les produits en nébulisateurs pour instillations nasales, les produits en nébulisateurs pour instillations auriculaires, les aérosols, et les granules, les globules, les comprimés, les poudres, les suppositoires, les pommades.
Les collyres utilisent comme excipient pour la dernière dilution du chlorure de sodium isotonique vis-à-vis des larmes.
Pour les solutions en flacon nébulisateur pour voie nasale, on utilise comme excipient pour la dernière dilution du chlorure de sodium isotonique à 9 pour mille.
Les produits pour flacon instillateur auriculaire, les aérosols, les sprays peuvent être élaborés de façon semblable. Les pommades sont préparées avec, comme excipient, à titre d'exemples de la vaseline ou un mélange de vaseline officinale et de la lanoline. La dilution retenue est incorporée dans l'excipient à raison par exemple de 4% en p/p.
Les suppositoires sont préparés avec comme excipients, par exemple, des glycérides hémi- synthétiques solides ou du beurre de cacao. La dilution préparée, par exemple dans l'alcool à 30% en v/v, est incorporée dans l'excipient à raison d'environ 0,25 g pour un suppositoire de 2 g.
Les poudres neutres, composées par exemple de lactose, sont ensuite imprégnées avec une dilution telle qu'indiqué plus haut dans la proportion de 1 % en v/p. Les poudres neutres, composées par exemple de lactose, sont triturées suffisamment pour que l'on obtienne une imprégnation homogène et sont ensuite séchées à une température inférieure à 40°C.
L'invention est maintenant décrite plus concrètement dans les exemples de réalisation ci-après, qui sont purement illustratifs et ne limitent en aucune manière la portée de l'invention revendiquée. Des exemples cliniques illustrent en outre les effets sur la santé des composés préparés selon plusieurs variantes du procédé conforme à l'invention.
Dans ces exemples, il est fait référence à des appareils désignés par leur dénomination commerciale. Parmi eux, il convient de préciser que: les appareils dénommés Ultrasonic S 1010 (DITER), Galva 102, Franck Line V2, Nextlaser, aimant NFB 30 sont distribués en France par la société Promokiné, Amiens; l'appareil Diapulse est distribué en France par la société Promedic, Le Chesnay; l'appareil Courtenay est distribué en France par la société Techni-cine- phot, Saint-Ouen; les appareils Nostrafon et Electromagnetic Wave Generator OCR (ETM) sont distribués en France par la société FGCK Courchevel, Draveil.
REALISATION DE PROTOCOLES
A TITRE D'EXEMPLES
1 - UTILISATION D'UNE SOURCE DE RAYONNEMENT ULTRASONIQUE
Matériel
On a utilisé un appareil émetteur d'ultrasons puisés du type commercialisé sous la dénomination ULTRASONIC S 1010. Caractéristiques techniques: fréquence: 0,86 MHz puissance maximum en impulsionnel: 3 watts/cm2 intensité programmée: 3 watts/cm2 émission puisée: 1/10 (émission 1 ms, repos 9 ms) minuterie interruptrice programmée: 19 min poids: 5 kg.
Procédure La tête émettrice d'ultrasons a été amenée au contact du PC. A titre d'exemple, le PC consistait en la solution A suivante :
composition de la solution A : vitamine C ou acide ascorbique: 100 milligrammes equisetum arvense teinture mère: 1 millilitre chlorure de magnésium: 10 milligrammes miel d'acacia: 0, 1 milligramme caféine: 3 milligrammes propolis: 1 milligramme
gelée royale: 0,1 milligramme éthanol officinal 20°: qsp 30 millilitres en flacon de verre transparent.
Une seconde formule dénommée solution B, qui peut être utilisée en lieu et place de la solution A , est: equisetum arvense teinture mère : 1 millilitre hydrosol poly vitaminé Roche (Produits Roche : 52, bd du Parc, 92521 Neuilly- sur-Seine cedex) solution buvable en flacon compte-gouttes : 1 goutte trophysan glucidique aromatisée solution buvable (laboratoires Baxter sa/Clintec parentéral sa : 6, av. Louis Pasteur, FR-78311 Maurepas cedex) : 0,1 millilitre magnésium oligosol solution buvable (Labcatal : 7, rue Roger-Salengro. BP 305, 92541 Montrouge cedex) : 0,1 millilitre phosphore oligosol solution buvable (Labcatal : 7, rue Roger-Salengro. BP 305, 92541 Montrouge cedex) : 0,1 millilitre zinc oligosol solution buvable (Labcatal : 7, rue Roger-Salengro. BP 305, 92541
Montrouge cedex) : 0,1 millilitre manganèse oligosol solution buvable (Labcatal : 7, rue Roger-Salengro. BP 305, 92541 Montrouge cedex) : 0,1 millilitre éthanol officinal 20° qsp 30 millilitres en flacon de verre transparent. La dose du PACA (solution A et/ou B ayant subi l'exposition à un ou plusieurs systèmes d'ondes électromagnétiques et/ou acoustiques ou SOEA) peut être, à titre d'exemple, de 0,2 millilitre dans une cuillère à café d'eau du robinet, si possible à garder 1 minute sous la langue, 2 fois par jour, par exemple au réveil et au coucher. Dans tous les exemples figurant aux présentes, les solutions A et B peuvent être utilisées indifféremment ou, également, être associées dans le même flacon, avant ou après l'exposition aux SOEA.
En variante, on a également traité selon la même procédure un excipient neutre EN qui consistait en 300 millilitres d'un excipient constitué par de l'eau ultrapure (eau filtrée par osmose inverse). On a appliqué la fréquence ultrasonique pendant 10 minutes. La dilution suivante a été effectuée dans de l'alcool pharmaceutique titré par exemple à 60°. Le titrage de l'alcool a été vérifié par la Pharmacopée de Willmar Schwabe DAB 5 de 1926 (Galenica 16, Médicaments homéopathiques, 2eme édition, op. cité, page 123).
Le reste de la procédure était identique à celle décrite plus loin dans la rubrique traitant de la fabrication du PACA utilisant un rayonnement lumineux comme source de rayonnement pour la fabrication du PACA.
Il convient de noter que le titre alcoolique avec une tolérance de + ou - 5° est précisé par la technique de la Pharmacopée de WiUmar Schwabe DAB 5 de 1926: « On place dans un petit ballon à distiller 10,0 ml de TM à vérifier et 5 ml d'eau. On distille. On recueille le distillât dans une éprouvette de 25 ml graduée au dixième de ml et bouchée à l'émeri. On recueille environ 10 ml du distillât que l'on agite fortement avec du carbonate dipotassique sec en quantité telle qu'une couche haute d'au moins 0,5 cm de cette substance reste non dissoute. Celui-ci déshydrate l'alcool qui se sépare en une couche supérieure. On refroidit à 20°C en plaçant l'éprouvette dans l'eau pendant une demi-heure, puis on lit à cette température le nombre de ml de la couche éthanolique. En multipliant le nombre de ml par 9,40 on obtient la teneur en éthanol de la teinture (pourcentage en volume) » (Galenica 16, Médicaments homéopathiques, op. cité, page 123).
2 - UTILISATION D'UN CHAMP ELECTROMAGNETIQUE FLASHE PULSE COMME SOURCE DE RAYONNEMENT
2.1 - EXEMPLE 1
Matériel On a utilisé à titre de premier exemple un appareil du type commercialisé sous la dénomination DIAPULSE, appareil émetteur d'ondes électromagnétiques flashées puisées: fréquence de 1 ' onde : 27 , 12 mégacycles flash de 65 microsecondes intervalle neutre (sans émission) de 1,665 microsecondes puissance maximale transmise pendant un temps T (T est supérieur à un cycle): 3,9 % de la puissance instantanée émise pendant les flashes qui était de 1,025 watts cadence d'émission des flashes: de 80 à 600 par seconde.
Procédure La tête émettrice du champ électromagnétique a été placée à 20 centimètres au- dessus de la solution B susdite.
La dose du PACA (solution A et/ou B susdites ayant subi l'exposition à un ou plusieurs systèmes d'ondes électromagnétiques et/ou acoustiques ou SOEA) peut être, à titre d'exemple, de 0,2 millilitre dans une cuillère à café d'eau du robinet, si
possible à garder 1 minute sous la langue, 2 fois par jour, par exemple au réveil et au coucher.
On a appliqué la fréquence électromagnétique pendant 10 minutes. Le réglage de l'appareil était le suivant: - pénétration: 3
- fréquence des pulsations: 500 (soit puissance de crête: 488 watts; puissance moyenne: 15,85 watts).
La dilution suivante a été effectuée dans de l'alcool pharmaceutique titré par exemple à 60°. Le titrage de l'alcool a été vérifié par la Pharmacopée de Willmar Schwabe DAB 5 de 1926.
Le reste de la procédure était identique à celle décrite dans la rubrique traitant de la fabrication du PACA utilisant un rayonnement lumineux comme source de rayonnement pour la fabrication du PACA.
2.2 - EXEMPLE 2
Matériel On a utilisé à titre de deuxième exemple un appareil du type commercialisé sous la dénomination ELECTRO-MAGNETIC WAVE GENERATOR OCR (ETM), appareil émetteur d'ondes électromagnétiques flashées puisées (fréquence de l'onde: 2 450 MHz).
Procédure La tête émettrice du champ électromagnétique a été placée à 3 centimètres au- dessus de la solution A indiquée plus haut. Une seconde formule, dénommée solution B, qui peut être utilisée en lieu et place de la solution A est celle indiquée plus haut.
La dose du PACA (solution A et/ou B ayant subi l'exposition à un ou plusieurs systèmes d'ondes électromagnétiques et/ou acoustiques ou SOEA) peut être, à titre d'exemple, de 0,2 millilitre dans une cuillère à café d'eau du robinet, si possible à garder 1 minute sous la langue, 2 fois par jour, par exemple au réveil et au coucher.
On a appliqué la fréquence électromagnétique pendant 10 minutes, à l'aide du projecteur circulaire.
La dilution suivante a été effectuée dans de l'alcool pharmaceutique titré par exemple à 60°. Le titrage de l'alcool a été vérifié par la Pharmacopée de Willmar Schwabe DAB 5 de 1926.
Le reste de la procédure était identique à celle décrite dans la rubrique traitant de la fabrication du PACA utilisant un rayonnement lumineux comme source de rayonnement pour la fabrication du PACA.
3 - UTILISATION D'UNE SOURCE DE RAYONNEMENT LUMINEUX
A titre d'exemple, la solution A indiquée plus haut a été exposée au spectre de fréquence(s) considéré.
Une seconde formule, dénommée solution B, qui peut être utilisée en lieu et place de la solution A ou en association avec la solution A dans le même flacon est celle indiquée plus haut.
La dose du PACA (solution A et/ou B ayant subi l'exposition à un ou plusieurs systèmes d'ondes électromagnétiques et/ou acoustiques ou SOEA) peut être, à titre d'exemple, de 0,2 millilitre dans une cuillère à café d'eau du robinet, si possible à garder 1 minute sous la langue, 2 fois par jour, par exemple au réveil et au coucher.
Cette exposition de la solution A et ou de la solution B au spectre de fréquence(s) considéré permettait d'obtenir la teinture mère (TM). Par exemple l'exposition au rouge donnait la TM "rouge"; l'exposition au noir donnait la TM "noire", etc. Il est possible d'exposer EN à plusieurs couleurs, soit par des expositions successives dans le temps (par exemple TM "rouge-bleue successivement"), soit en exposant EN à plusieurs couleurs simultanément (par exemple TM "jaune-vert simultanément").
L'exposition peut se faire vis-à-vis d'une source lumineuse continue ou discontinue. On peut utiliser un flash. Dans ce cas, on utilise une ou plusieurs décharges du flash. S'il s'agit d'un rouge flashé, on obtient ainsi la TM "rouge flashé".
La décharge du flash peut être unique ou répétée ou puisée à une récurrence (ou fréquence des flashes) définie. On utilise ou non une technique de polarisation de la lumière. La lumière peut être continue (couleur polarisée continue), discontinue (couleur polarisée discontinue), flashée (couleur polarisée flashée).
Toutes les techniques de polarisation peuvent être utilisées.
On peut avoir recours, à titre d'exemples, aux polarisations linéaire ou circulaire. Il faut rappeler que pour obtenir un phénomène de polarisation, différentes méthodes peuvent être utilisées (par exemple: double réfraction ou
biréfringence, réflexion, diffusion, dichroïsme). Si l'on décide d'utiliser le phénomène de dichroïsme, on peut, par exemple, avoir recours à des filtres polariseurs en polarisation linéaire ou circulaires de type filtres Polaroid (Linear and circular polarizers. The solution that éliminâtes glare and enhances contrast, copyright 1998, imprimé aux U.S. A., Polaroid Corporation), filtres que l'on interpose entre la source lumineuse et la solution A.
En cas d'utilisation simultanée de filtre(s) coloré(s), on peut disposer le (les) filtre(s) polariseur(s), entre la source lumineuse et le(les) filtre(s) coloré(s) et/ou entre le(les) filtre(s) coloré(s) et la solution A, la position du(des) filtre(s) polariseur(s) pouvant être en amont du(des) filtre(s) coloré(s) sur le trajet de la lumière et/ou en aval du(des) filtre(s) coloré(s) sur ce trajet lumineux.
Le rayonnement, quel qu'il soit, peut être extérieur et/ou intérieur à l'excipient et/ou en contact avec la solution A et/ou B.
Ensuite, on réalise éventuellement les dilutions-homogénéisation, par exemple au centième. A titre d'exemple, la première dilution au centième de la TM "rouge" (ou "TR") s'appelle "rouge 1 C" ("rouge 1 centésimale) ou "R1C".
Lorsque la fréquence "rouge" est polarisée et flashée, la souche s'appelle "rouge flashé, polarisé" ou "rouge FP". Lorsque la fréquence "rouge" est, en plus, puisée
(par exemple: un flash délivré toutes les 10 minutes, quatre fois de suite), la souche s'appelle "rouge flashé, polarisé, puisé" ou" RFPP". La TM exposée au RFPP s'appelle "TRFPP".
3.1 - REALISATION PRATIQUE
De manière générale, on sait que, pour obtenir une couleur, il est possible d'utiliser deux techniques différentes.
- Technique additive: on a recours à un appareillage qui émet directement la ou les longueur(s) d'onde souhaitée(s). Si l'on associe progressivement plusieurs couleurs, on tend, par "addition" de longueurs d'onde, à obtenir une lumière blanche.
- Technique soustractive: on a recours à une lumière blanche (composée de l'ensemble des longueurs d'onde appartenant au spectre des longueurs d'onde visibles) devant laquelle on interpose un ou plusieurs filtre(s), de façon à "soustraire" les longueurs d'onde n'appartenant pas au spectre de fréquences souhaité. Par exemple, afin d'obtenir la couleur rouge, on interpose un filtre rouge qui ne transmet pas les longueurs d'onde n'appartenant pas aux longueurs d'onde du rouge.
L'association progressive de plusieurs filtres tend à l'obtention du noir, par "soustraction" progressive des différentes longueurs d'onde.
- L'obtention du noir se fait par exposition de PC à l'obscurité, avant le recours éventuel aux dilutions- homogénéisations.
Matériel en cas de recours à la technique soustractive d'obtention de couleur(s)
1- Sources lumineuses blanches: Les sources de lumière blanche peuvent être continues ou intermittentes (par exemple par allumage intermittent ou par un dispositif utilisant un stroboscope ou tout dispositif permettant d'obtenir une fréquence définie d'illumination). On peut utiliser tout procédé utilisant une source naturelle (par exemple le soleil) ou artificielle (flashes, torches, boîtes à lumière, lampes, ampoules, spots, surfaces lumineuses, lasers, etc.). De nombreuses firmes fabriquent de tels appareils. En ce qui concerne les flashes électroniques, citons, à titre d'exemples non limitatifs, les firmes Courtenay, Multiblitz, Hedler Systemlicht.
2- En ce qui concerne les lasers, de nombreuses firmes commercialisent ce type de matériel. A titre d'exemples non limitatifs, il peut s'agir de lasers Argon, Hélium- Néon (He-Ne), Rubis, Nad: YAG, CO2, arséniure de gallium (AsGa). L'émission peut être continue, impulsionnelle (l'impulsion est définie par sa récurrence et sa durée), modulée dans le temps (par exemple: émissions à intensité variable, émissions entrecoupées de périodes d'interruption, émissions par trains d'impulsions). Si l'on décide d'utiliser les lasers à diode en arséniure de gallium (proche infrarouge), on peut citer, à titre d'exemple, le modèle commercialement dénommé Nextlaser: laser puisé avec diode de 10 watts de crête (puissance de crête des impulsions) que l'on peut utiliser, par exemple, à la fréquence de 73 Hz. Chaque impulsion a une durée de 200 ns (1/5 000 000 de seconde) et est donc répétée à la fréquence (ou récurrence) de 73 Hz. Autres caractéristiques de l'appareil Nextlaser: longueur d'onde centrale: 904 nm (classe de laser invisible 3B), divergence du faisceau ±8°, mesure de l'intensité nominale ±20% par signaux sonores différenciés, appareil respectant la norme internationale CEI 825 concernant les appareils LASER à usage médical. Le port des lunettes fournies avec l'appareil est obligatoire chaque fois qu'il y a risque de diriger, à courte distance, directement ou après réflexion, le rayonnement vers les yeux. Les lunettes fournies avec l'appareil ont, à 904 nm, un coefficient de transmission optique inférieur à 0,001 (D=3) ce qui permet une vision directe dans le faisceau sans aucun risque. Le rayonnement ne doit pas être appliqué
sur la région thoracique des porteurs de stimulateur cardiaque. D'autres appareils peuvent être utilisés. Il s'agit, par exemple, des lasers de la firme FRANCK LINE en infrarouge 904 nm ou en hélium/néon 670 nm: modèles FRANCK LINE PORTABLE infrarouge ou hélium/néon ou modèles FRANCK LINE V2 infrarouge 904 nm (IR 30, IR 60, IR 100, IR 200) ou modèles FRANCK LINE V2 helium/néon 670 nm (TM 15 D, TM 25 D). A titre d'exemple, on peut utiliser l'appareil FRANCK LINE V2, modèle IR 100 dont les caractéristiques techniques sont les suivantes: diode AsGa (arséniure de gallium); longueur d'onde: 904 nm (infrarouge); mode d'émission: puisée; puissance maximale des diodes: 400 W; puissance du pic d'utilisation: 100 W; fréquence : 50 Hz; longueur d'impulsion: 200 ns. Il est possible d'associer plusieurs rayonnements laser en même temps ou successivement.
3- Filtres colorés: dans cette technique soustractive d'obtention de longueurs d'onde, on interpose entre la source lumineuse et l'excipient un ou plusieurs filtres colorés selon la couleur souhaitée. Ces filtres peuvent être solides, liquides ou gazeux (Handbook of Wratten filters, Eastman Kodak Company, 1990). A titre d'exemples non limitatifs, si l'on décide d'utiliser des filtres solides, il peut s'agir de gélatines, de vaseline, de vernis, d'acétate de cellulose, de triacétate, d'acétate butyrate de cellulose, de plastique, de plastique acrylique (Plexiglas), de filtres (en verre, en plastique, en polyester, polyethylene, filtres adhésifs transparents, etc.), de diapositives, de films, et de tous écrans ou procédés permettant l'obtention d'une couleur. De nombreuses firmes fabriquent ce type de matériel: Kodak (filtres Wratten, pur exemple), Lee, Mécanorma, Cokin, Pantone, etc. Les filtres peuvent être montés sur des porte-filtre. De nombreuses firmes commercialisent ces porte-filtre ou tous dispositifs pour maintenir les filtres. On peut citer, à titre d'exemples non limitatifs le porte-filtre professionnel Kodak 2 B et la monture professionnelle Kodak pour porte-filtre 2B.
Filtres et autres appareillages ou accessoires: il est possible d'interposer tous les filtres et/ou appareillages et/ou accessoires souhaités entre la source lumineuse blanche et le PC. A titre d'exemples non limitatifs: les coupe-flux, les grilles en nid d'abeille, les "varifilters", les réflecteurs, les parapluies réflecteurs, les diffuseurs, les "snoots", les miroirs plans et/ou concaves et/ou convexes, les lentilles planes et/ou concaves et/ou convexes, les prismes, les filtres reproduisant des dessins ou formes à deux ou trois dimensions, etc. Il existe de nombreuses firmes qui commercialisent ces appareillages et accessoires. A titre d'exemples non limitatifs on peut citer les firmes: Courtenay, Multiblitz, Hedler Systemlicht.
4- Filtres contenant des produits dont on souhaite "projeter" l'information "énergétique" dans PC (excipient neutre): le filtre ou les filtres est(sont) interposé(s) entre la source lumineuse et PC. Il peut s'agir, à titre d'exemple, d'un filtre formé de deux parois ou membranes transparentes (quelle qu'en soit la nature: plastique, verre, Plexiglas, cellulose, etc.) entre lesquels(lesquelles) est(sont) placé(s) un ou plusieurs produit(s), quelle qu'en soit la nature (chimique, organique, végétal, animal, minéral, humain, hormonal, médiateurs biologiques, etc.). On peut citer à titre d'exemple: equisetum arvense (EAV) en TM ou à toutes les dilutions possibles, par exemple en 5C (5ème dilution centésimale avec homogénéisation au vortex à chaque dilution). Grâce au flashage ou l'illumination à travers le filtre, PC est alors "chargé" d'une "information" spécifique EAV. En cas d'utilisation de la procédure de flashage et de polarisation, on obtient par PC: la matière première "EAV flashé polarisé", à partir de laquelle peuvent être montées ou non toutes les dilutions- homogénéisations souhaitées, par exemple "EAV flashé polarisé 5 C monté à 30 C". L'intérêt de cette procédure est d'éliminer tous risques de contamination infectieuse ou toxique du produit obtenu. Il est apparu que le produit obtenu garde en la potentialisant l'information de la substance flashée polarisée, en même temps que ce produit développe une activité plus vaste. Par exemple EAV TM ou 5 C (dans le filtre: imbibition de 3 gouttes de EAV TM ou de EAV 5 C sur de la cellulose) flashé polarisé développe une action sur la santé qui renforce et dépasse l'action d'EAV TM ou 5 C: action plus nette sur les indications cliniques classiques pour EAV (reminéralisant, diurétique), mais aussi action sur les crampes musculaires.
Des exemples cliniques illustrant cette forme de réalisation du procédé selon l'invention sont fournis ci-après, la technique utilisée étant la suivante: EN était un flacon en verre transparent de 30 millilitres de la solution à tester telle que définie plus haut. EN a été exposé au flashage (flash électronique Courteny Solapro 1200 réglé à la puissance 1/2 et placé à 1 mètre du filtre) du filtre contenant une dilution homéopathique (par exemple: arnica 5 CH ou cuprum métal 5 CH). Entre le filtre et EN était interposé un filtre polarisant (filtre Polaroid HNCP 37 placé à 30 centimètres de EN et 30 centimètres du filtre). Cette procédure de flashage à travers le filtre contenant la dilution homéopathique et de polarisation a été pratiquée quatre fois, toutes les 10 minutes, soit un total de quatre flashages. EN a ensuite été utilisé aux fins d'imprégnation des granules selon la pharmacotéchnie homéopathique (cf. section traitant de l'imprégnation des granules). Les granules neutres ont été imprégnés avec la dilution homéopathique dans la proportion de 1 % en v/m (volume/masse).
Exemple n° 1: Mr G. K., 34 ans, est un vélocipédiste du dimanche, qui parcourt durant le week-end entre 40 et 80 kilomètres. Son seul problème est l'apparition de crampes d'effort siégeant au niveau des deux mollets au bout d'une vingtaine de kilomètres et qui force ce patient à " rester en dedans " jusqu'à la fin du parcours. Cuprum métal 5 CH, à raison de 3 granules 5 minutes avant le départ et dès l' apparition de la première crampe ne donne aucun résultat. " Cuprum métal 5 CH flashé polarisé puisé " s'avère beaucoup plus actif et fait disparaître les crampes d'effort, à raison de 3 granules 5 minutes avant le départ. Exemple n° 2: Melle R.H., 32 ans, présente une cystite aiguë depuis 2 jours avec urine trouble, hémorragique et sensation de pesanteur au niveau du petit bassin. Chaque miction s'accompagne de sensation de lames de rasoir. Arnica 5 CH, à raison de 3 granules toutes les heures ne procure aucune amélioration de l'état clinique pendant 24 heures. " Arnica 5 CH flashé polarisé puisé " est alors administré, à raison de 3 granules 3 fois par jour (réveil, midi et 20 heures). La première prise procure la sédation totale des symptômes urinaires. Le traitement est poursuivi pendant 5 jours.
Une autre variante du procédé selon la présente invention consiste à utiliser la technique avec flashage et/ou polarisation, appliquée sur un PC de la TM à toutes dilutions-homogénéisations de cette TM. Par exemple: flashage par la lumière rouge et polarisation de cette lumière rouge flashée sur un flacon contenant EAV TM. Il s'est avéré que cette technique potentialise l'activité du produit obtenu (dans ce cas EAV TM), en même temps que ce produit flashé polarisé développe une activité plus vaste. Par exemple EAV TM ou 5 C flashé polarisé développe une action sur la santé qui renforce et dépasse l'action d'EAV TM ou 5 C: action plus nette sur les indications cliniques classiques pour EAV (reminéralisant, diurétique), mais aussi une autre action bénéfique sur la santé (dans ce cas d'EAV TM ou 5 C flashé polarisé de cette façon: produit actif sur la fatigue nerveuse).
Exemple n° 1: Mme L. M. 53 ans, souffre de crampes au niveau du mollet gauche en début de nuit qui réveille la malade, il n'y a aucune autre symptomatologie, en particulier: pas de signes d'insuffisance veineuse ou artérielle. Cuprum métal 5 CH, à raison de 3 granules au coucher et au moment de la crampe, ne donne aucun résultat. " Cuprum métal 5 CH flashé vert polarisé " selon la technique exposée ci-dessus (la solution cuprum métal 5 CH est exposée au rayonnement vert tel que défini dans l'exemple D de la présente demande de brevet:
filtre vert Kodak Wratten ordinaire n° 58 et filtre " Polaroïd " HNCP37) fait disparaître les crampes, à raison de 3 granules au coucher, dès la première prise.
Exemple n° 2: Mme L. C. 48 ans, présente des crampes de mollets. Par ailleurs, s'est déclarée une infection gynécologique avec leucorrhées nauséabondes abondantes brûlantes et douleurs de toute la région utérine. Ces symptômes s'accompagnent d'un débricule à 38° tous les soirs et une asthénie considérable. Cuprum métal 5 CH, à raison de 3 granules 5 fois par jour ne donne aucun résultat. " Cuprum métal 5 CH flashé vert polarisé " selon la technique exposée ci-dessus (la solution cuprum métal 5 CH est exposée au rayonnement vert tel que défini dans l'exemple D de la présente demande de brevet : filtre vert Kodak Wratten ordinaire n° 58 et filtre " Polaroïd " HNCP37) fait disparaître les crampes et la symptomatologie infectieuse en 24 heures.
Exemple n° 3: Mr H. R., 35 ans, présente un syndrome grippal avec sensation de courbatures intenses aggravées au moindre mouvement. Arnica 5 CH, à raison de 3 granules 3 fois par jour ne procure aucune amélioration. Au bout de 48 heures de ce premier traitement sans résultat clinique, " Arnica 5 CH flashé rouge polarisé " selon la technique exposée ci-dessus (la solution Arnica 5 CH est exposée au rayonnement rouge tel que défini dans l'exemple E de la présente demande de brevet: filtre rouge Kodak Wratten ordinaire n° 25 et filtre " Polaroïd " HNCP37) fait disparaître le syndrome grippal en 24 heures.
Différents montages sont possibles. Trois montages sont décrits ci-après, à titre d'exemples non limitatifs:
- montage n° 1 : le filtre contenant un ou plusieurs produits quelconques à dose(s) pondérale(s)- c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s) est interposé entre la source électromagnétique (ci-après dénommée SEM) (par exemple un flash lumineux) et le filtre polarisant, ce dernier étant placé entre le filtre contenant le ou les produit(s) quelconque(s) et l'excipient neutre (EN). Selon ce montage n°l, le filtre polarisant peut également être placé entre la SEM et le filtre contenant un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s). Selon ce montage n°l, il est également possible de placer, à la fois, un premier filtre polarisant (dénommé ci-après filtre PA) entre la SEM et le filtre contenant un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou
immatérielle(s) et un second filtre polarisant (dénommé ci-après filtre PB) qui peut être identique au filtre PA et qui se trouvera entre le filtre contenant un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle (s) et un excipient neutre (EN). Il est possible d'interposer un filtre coloré entre la
SEM et le filtre contenant un ou plusieurs produits quelconques à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s) ou entre le filtre contenant un ou plusieurs produits quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à doses infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s) à l'excipient neutre (EN).
- montage n° 2: la SEM est placée devant un filtre polarisant, lui-même est placé entre la SEM et un flacon contenant un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s). Il est possible d'interposer un filtre coloré entre la SEM et le filtre polarisant ou entre le filtre polarisant et le flacon.
- montage n° 3: le filtre contenant un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s) est interposé entre la SEM et le filtre polarisant, ce dernier étant placé entre le filtre contenant un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et ou immatérielle(s) et un flacon contenant un ou plusieurs excipient(s) neutre(s) et ou un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielles(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s). Selon ce montage n°3, le filtre polarisant peut également être placé entre la SEM et le filtre contenant un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s). Selon ce montage n°3, il est également possible de placer, à la fois, un premier filtre polarisant (filtre dénommé PA) entre la SEM et le filtre contenant un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s) et un second filtre polarisant (filtre dénommé PB) qui peut être identique au filtre PA et qui se trouvera entre le filtre contenant un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s) et un flacon contenant un ou
plusieurs excipient(s) neutre(s) et/ou un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s). Il est possible d'interposer un filtre coloré par exemple entre la SEM et le filtre contenant un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s).
En fonction des différents montages possibles, on peut utiliser un ou plusieurs filtre(s) polarisant(s) que l'on peut orienter selon la polarisation et la quantité de flux transmis souhaitées, un ou plusieurs filtre(s) contenant un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s) et ou contenant un ou plusieurs excipient(s) neutre(s), un ou plusieurs flacon(s) contenant un ou plusieurs excipient(s) neutre(s) et ou un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s), un ou plusieurs filtre(s) coloré(s), une ou plusieurs source(s) lumineuse(s).
En d'autres termes, on peut utiliser notamment, mais non exclusivement: un filtre contenant un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) -c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s) interposé entre le ou les système(s) d'ondes et le filtre polarisant, ce dernier étant placé entre le filtre contenant le ou les produit(s) et l'excipient neutre
(EN), un ou plusieurs système(s) d'ondes placé(s) devant un filtre polarisant, lui- même placé entre ledit un système d'ondes et un flacon contenant un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s), ou un filtre contenant un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle(s), interposé entre ledit système d'ondes et le filtre polarisant, ce dernier étant placé entre le filtre contenant le produit et un flacon contenant un ou plusieurs produit(s) quelconque(s) à dose(s) pondérale(s) - c'est-à-dire matérielle(s) - et/ou à dose(s) infinitésimale(s) et/ou immatérielle (s).
- Technique de polarisation de la lumière:
Pour obtenir une lumière ou une couleur polarisée, il est possible d'interposer entre l'excipient neutre à irradier et la source lumineuse un ou plusieurs filtre(s) polariseur(s). A titre d'exemples non limitatifs, il peut s'agir de gélatines, d'acétate
de cellulose, de triacétate, d'acétate butyrate de cellulose, de plastique, de plastique acrylique (Plexiglas), de filtres (en verre, plastique, polyester, polyethylene, filtres adhésifs transparents, etc.), de diapositives, de films, de tous écrans ou procédés permettant l'obtention d'une polarisation de la lumière ou d'une couleur. De nombreuses firmes commercialisent des filtres, gélatines et autres produits, permettant de polariser la lumière: Sarelec, Hama, Hoya, Cokin, Lee, etc.
Ce(ces) filtre(s) et/ou procédé(s) sont utilisés de la même façon dans le but de l'obtention de la TM noire (TM "noire polarisée").
Si l'on décide d'utiliser les filtres Polaroïd, on peut utiliser, à titre d'exemples: + pour la polarisation linéaire: le filtre HN42 HE (filtre polarisant linéaire neutre de haute transmission 42 % en lamination suivante: acétate butyrate de cellulose, épaisseur 0,25 mm, plaque de 480 x 1260 mm)
+ pour la polarisation circulaire: le filtre HNCP37 (filtre polarisant neutre circulaire en lamination suivante: acétate butyrate de cellulose, couleur gris neutre, épaisseur 0,25 mm, plaque de 480 x 1260 mm).
On change de préférence de filtre polarisant après chaque flashage.
3.2 - REALISATION CONCRETE AVEC FLASHAGE ET POLARISATION
Dans cet exemple, on a eu recours à une technique soustractive d'obtention de couleur (voir plus haut).
Matériel On a utilisé, à titre d'exemple, un flash électronique de type COURTENAY
SOLAPRO 1200. Ce flash a été réglé à puissance 1/2. Il a été placé à environ 1 mètre 80 cm de hauteur à partir du sol du local et à 3 mètres d'un flacon de verre transparent pharmaceutique contenant 30 millilitres de la solution A indiquée plus haut. Une seconde formule, dénommée solution B indiquée plus haut, peut être utilisée en lieu et place de la solution A ou en association avec la solution A dans le même flacon.
La dose du PACA (solution A et/ou B ayant subi l'exposition à un ou plusieurs systèmes d'ondes électromagnétiques et/ou acoustiques ou SOEA) pourra être, à titre d'exemple, de 0,2 millilitre dans une cuillère à café d'eau du robinet, si possible à garder 1 minute sous la langue, 2 fois par jour, par exemple au réveil et au coucher.
Spécifications du flash SOLAPRO: code 152; Modèle SOLAPRO 1 200; type de lampe pilote: P3/4 150 W; puissance du fusible: 10 a; puissance en Joules: 1200. A titre d'exemple, le flacon de solution A a été placé à 1 mètre 30 centimèties de hauteur, à partir du sol du local.
Filtres colorés KODAK WRATTEN (cf. Photographie Handbook of Wratten filters, Eastman Kodak Company, 1990, Library of Congress Catalog Number 90- 80512): on utilise un ou plusieurs filtres selon la couleur souhaitée. Le ou les filtre(s) est(sont) placé(s) entie le flash et la solution A. A titre d'exemple le(les) filtre(s) est (sont) placé(s) à 5 centimètres de la solution A. L'absence de filtre permet d'obtenir la lumière blanche.
Filtres polarisants: on dispose le ou les filtres polarisant(s) (par exemple un ou plusieurs filtre(s) POLAROID) entre le ou les filtre(s) coloré(s) et la solution A, par exemple à 1 centimètre de la solution A. Afin d'obtenir la TM "noir polarisé", on n'utilise ni flash, ni filtre coloré; le(les) filtre(s) polarisant(s) est(sont) placé(s), à titre d'exemple non limitatif, au contact du flacon d'alcool ou d'excipient.
Procédure
1- Flashage: avec un flash électronique de type Courtenay Solapro 1200. Le dispositif a été plongé dans l'obscurité. Ce délai d'obscurité avant le déclenchement du flash ou des flashs peut varier. Il peut être, à titre d'exemple, de 24 heures jusqu'au déclenchement du flash ou des flashes. A titre d'exemple, on a déclenché un seul éclair du flash. Après le déclenchement du flash ou des flashes, on a laissé le dispositif dans l'obscurité pendant un délai variable. Ce délai était par exemple de 24 heures.
Pour obtenir la TM noire", on s'abstient d'utiliser le flash: le temps d'exposition au noir (c'est-à-dire à l'obscurité) est variable; à titre d'exemple, ce délai était de 24 heures.
On peut opérer de même avec les dilutions ou déconcentrations de la TM.
2- Flashage avec un appareil de type laser: on a utilisé, à titre d'exemple, un appareil du type commercialement dénommé FRANCK LINE V2 (diode en arséniure de gallium, modèle IR 100) que l'on maintient au-dessus de la surface de la solution A telle que définie en page 10, et orienté vers la solution A, par exemple à 3 centimètres au-dessus de la surface de la solution A, l'émission du laser étant maintenue pendant 5 minutes. On maintient l'obscurité (hormis le rayonnement
laser), à titre d'exemple, 3 minutes avant l'émission du laser, pendant les 5 minutes d'émission, puis pendant 3 minutes après l'émission laser.
Caractéristiques techniques de l'appareil "FRANCK LINE V2", modèle IR 100: diode AsGa (arséniure de gallium); longueur d'onde: 904 nm (infrarouge); mode d'émission: puisée; puissance maximale des diodes: 400 W; puissance du pic d'utilisation: 100 W; fréquence: 50 Hz; longueur d'impulsion: 200 ns.
3- Dilution-homogénéisation:
Après la phase précédente (flashage ou exposition simple à l'obscurité pour l'obtention de la TM "noire" ou exposition simple au laser), on procède à la fabrication du produit (dilution-homogénéisation, éventuellement imprégnation) selon la technologie décrite plus haut. Cette phase de fabrication (dilution- homogénéisation, éventuellement imprégnation) peut être mise en oeuvre avec tous les excipients-diluants connus de l'homme de l'art. A titre d'exemple, le diluant- excipient est de l'alcool titré à 60 degrés comme indiqué par la Pharmacopée de Willmar Schwabe DAB 5 de 1926 (Galenica 16, op. cité, page 123). Dans cet exemple, la première déconcentration subit la même procédure (irradiation ou exposition simple à l'obscurité ou au laser) que la TM. La TM et toutes les déconcentrations de cette TM peuvent être utilisées.
Cette fabrication (dilution, dynamisation, éventuellement imprégnation) peut se faire dans l'obscurité ou à la lumière. A titre d'exemple, cette fabrication se fait à la lumière (naturelle et/ou artificielle).
Dénomination du PACA:
Le PACA ainsi fabriqué peut s'appeler du nom de la couleur ou de la lumière utilisée, suivi du nombre de la dernière dilution-homogénéisation éventuelle réalisée. A titre d'exemples non limitatifs: jaune 1 C, violet 3 C, etc. Si la couleur est flashée et polarisée, on peut l'indiquer au niveau du nom du produit, par exemple: bleu flashé polarisé TM (PACA non dilué ou teinture-mère). Lorsque la fréquence
"bleue" est, en plus, puisée (par exemple un flash délivré toutes les 10 minutes, quatre fois de suite), la souche s'appelle "bleu flashé, polarisé, puisé".
Recommandations pour l'absorption de PACA: Sauf formes physiques particulières (par exemple formes injectables, percutanées), il est recommandé de prendre les PACA, autant que possible: 1- par voie perlinguale (les garder quelques minutes sous la langue, par exemple 1 minute) ou orale;
2- pendant les repas ou de préférence à distance des repas: par exemple au moins 5 minutes avant le repas quand la prise tombe avant le repas, et au moins 30 minutes après le repas quand la prise tombe après le repas. En ce qui concerne les nouveau nés et les enfants, l'expérience clinique montre que le fait que les PACA ne sont pas gardés sous la langue n'empêche pas le PACA d'agir. La posologie est la même, quel que soit l'âge du patient. Elle est la même chez la femme enceinte.
Recommandations pour l'absorption des EN informés
La posologie peut être par exemple
- en ce qui concerne les doses-globules: une dose-globule tous les soirs au coucher, à garder 2 minutes sous la langue;
- en ce qui concerne les granules: 10 granules au réveil, à 12 heures, à 20 heures et au coucher, à garder 2 minutes sous la langue;
- en ce qui concerne les poudres: 1 mesurette de 0,2 gramme à garder 2 minutes sous la langue au réveil, à midi, à 20 heures et au coucher;
- en ce qui concerne les comprimés: 2 comprimés à garder 2 minutes sous la langue, au réveil, à midi, à 20 heures et au coucher; - en ce qui concerne les suppositoires: 1 suppositoire au coucher;
- en ce qui concerne les collyres: 2 gouttes dans chaque œil 2 fois par jour;
- en ce qui concerne le flacon nébulisateur nasal: 1 pulvérisation correspondant à 3 gouttes de soluté 3 fois par jour;
- en ce qui concerne le flacon instillateur auriculaire: 2 gouttes 3 fois par jour; - en ce qui concerne la pommade: une application loco dolenti au réveil, à 20 heures et au coucher;
- en ce qui concerne les solutés injectables: pratiquer une injection sous-cutanée, par jour, de 5 millilitres en zone abdominale ou loco dolenti;
- en ce qui concerne les " gouttes ": 20 gouttes dans un peu d'eau du robinet à garder 2 minutes sous la langue au réveil, à midi, avant dîner et au coucher;
- en ce qui concerne les ampoules: 1 ampoule à garder sous la langue pendant 2 minutes au réveil, à midi, à 20 heures et au coucher.
Sauf formes galéniques particulières (par exemple formes suppositoires, injectables, percutanées), on préconise de prendre les produits de type médicament:
• par voie perlinguale (les garder quelques minutes sous la langue, par exemple 2 minutes) ou orale;
• à distance des repas: par exemple au moins 5 minutes avant le repas quand la prise tombe avant le repas, et au moins 30 minutes après le repas quand la prise tombe après le repas.
4 - UTILISATION D'UN COURANT GALVANIQUE COMME SOURCE
Matériel On a utilisé, à titre d'exemple, un appareil du type commercialement dénommé GALVA 102, à la puissance de 1 mA, raccordé à deux électrodes type électrodes pour hyperhydrose, afin de faire passer le courant galvanique entre ces deux électrodes, dans le solvant.
Procédure Les deux électrodes ont été plongées, à titre d'exemple dans la solution A indiquée plus haut.
Une seconde formule, dénommée solution B indiquée plus haut, peut être utilisée en lieu et place de la solution A ou en association avec la solution A dans le même flacon. La dose du PACA (solution A et/ou B ayant subi l'exposition à un ou plusieurs systèmes d'ondes électromagnétiques et/ou acoustiques ou SOEA) peut être, à titre d'exemple, de 0,2 millilitre dans une cuillère à café d'eau du robinet, si possible à garder 1 minute sous la langue, 2 fois par jour, par exemple au réveil et au coucher.
On a laissé le courant galvanique de 1 mA passer pendant 1 heure. La dilution- homogénéisation éventuelle suivante a été effectuée dans de l'alcool pharmaceutique titré, à titre d'exemple, à 60°. Le titrage de l'alcool a été vérifié par la Pharmacopée de Willmar Schwabe DAB 5 de 1926.
Le reste de la procédure était identique à celle décrite dans la rubrique traitant de la fabrication du PACA utilisant un rayonnement lumineux comme source de
rayonnement pour la fabrication de la teinture-mère, le diluant étant, à titre d'exemple, de l'alcool pharmaceutique titré à 60 degrés.
5 - UTILISATION D'UN CHAMP MAGNETIQUE COMME SOURCE
On peut utiliser tout procédé permettant l'obtention d'un champ magnétique. A titre d'exemple, on a eu recours à deux aimants orientés face nord de l'un en regard de la face sud de l'autre ou face nord de l'un en regard de la face nord de l'autre ou face sud de l'un en regard de la face sud de l'autre. On a utilisé des aimants de puissance d'aimantation variable. A titre d'exemple on a utilisé des aimants de 3 000 Gauss. Dans ce cas, on a utilisé des aimants de type NFB 30. A titre d'exemple, 2 aimants de type NFB ont été plongés dans la solution A. Les aimants ont été disposés de telle sorte que la face sud de l'un soit placée en regard de la face nord de l'autre. A titre d'exemple, les deux aimants étaient séparés d'une distance de 4 centimètres. On a laissé les aimants ainsi pendant 2 heures. La dilution éventuelle suivante a été effectuée dans de l'alcool pharmaceutique titré par exemple à 60°. Le titrage de l'alcool a été vérifié par la Pharmacopée de Willmar Schwabe DAB 5 de 1926.
Le reste de la procédure était identique à celle décrite dans la rubrique traitant de la fabrication du PACA utilisant un rayonnement lumineux comme source de rayonnement pour la fabrication de la teinture- mère, le diluant étant, à titre d'exemple, de l'alcool pharmaceutique titré à 60 degrés.
6 - UTILISATION D'UNE SOURCE DE RAYONNEMENT SONIQUE
A titie d'exemple, on a utilisé un appareil du type commercialisé sous la dénomination NOSTRAFON, à une fréquence quelconque de 10 à 10.000 Hz. On a tourné le bouton de réglage de la fréquence au maximum, soit 10.000 Hz.
Exemple de procédure: on a amené la tête émettrice de la fréquence sonore au contact de la solution A indiquée plus haut.
Une seconde formule, dénommée solution B indiquée plus haut, peut être utilisée en lieu et place de la solution A ou en association avec la solution A dans le même flacon.
La dose du PACA (solution A et/ou B ayant subi l'exposition à un ou plusieurs systèmes d'ondes électromagnétiques et/ou acoustiques ou SOEA) peut être, à titre
d'exemple, de 0,2 millilitre dans une cuillère à café d'eau du robinet, si possible à garder 1 minute sous la langue, 2 fois par jour, par exemple au réveil et au coucher.
A titie d'exemple, on a appliqué la fréquence sonore (10.000 Hz) pendant 10 minutes. La dilution suivante a été effectuée dans de l'alcool pharmaceutique titré par exemple à 60°. Le titrage de l'alcool a été vérifié par la Pharmacopée de Willmar Schwabe DAB 5 de 1926.
Le reste de la procédure était identique à celle décrite dans la rubrique traitant de la fabrication du PACA utilisant un rayonnement lumineux comme source de rayonnement pour la fabrication de la teinture-mère, le diluant étant, à titre d'exemple, uniquement de l'alcool pharmaceutique titré à 60 degrés.
D'autres exemples concrets de réalisations et de tests portant sur diverses formes de mise en oeuvre du procédé et des produits selon l'invention sont relatés ci-après.
EXEMPLE A: produit à visée cicatrisante
Dans cet exemple le rayonnement retenu était un rayonnement ultrasonique. A titre d'exemple, on a utilisé un appareil du type commercialisé sous la dénomination ULTRASONIC S 1010. caractéristiques techniques: fréquence: 0,86 MHz puissance maximum en impulsionnel: 3 watts/cm intensité programmée: 3 watts/cm2 émission puisée: 1/10 (émission 1 ms, repos 9 ms) minuterie interruptrice programmée: 19 minutes poids: 5 kg.
Procédure La tête émettrice d'ultrasons a été amenée au contact de la solution A indiquée plus haut.
Une seconde formule, dénommée solution B indiquée plus haut, peut être utilisée en lieu et place de la solution A ou en association avec la solution A dans le même flacon. La dose du PACA (solution A et ou B ayant subi l'exposition à un ou plusieurs systèmes d'ondes électromagnétiques et/ou acoustiques ou SOEA) peut être, à titre
d'exemple, de 0,2 millilitre dans une cuillère à café d'eau du robinet, si possible à garder 1 minute sous la langue, 2 fois par jour, par exemple au réveil et au coucher.
A titre d'exemple, on a appliqué la fréquence ultrasonique pendant 10 minutes. La dilution éventuelle suivante a été effectuée dans l'alcool à 30°. Le reste de la procédure était identique à celle décrite dans la rubrique traitant de la fabrication de
PACA utilisant un rayonnement lumineux comme source de rayonnement pour la fabrication de la teinture-mère.
La TM et toutes dilutions-homogénéisations de cette TM peut(peuvent) être utilisée(s). A titre d'exemple, on utilise la TM.
Indications cliniques:
Ce produit est cicatrisant sur la peau et les muqueuses.
Pour les exemples cliniques qui suivent, on a utilisé la solution A susmentionnée, exposée au rayonnement ultrasonique défini ci-dessus.
Posologie:
A titre d'exemple, la préconisation a été de 0,2 millilitre dans une cuillère à café d'eau du robinet, si possible à garder 1 minute sous la langue, 2 fois par jour, par exemple au réveil et au coucher.
Exemple n°l : Mme J. K., 56 ans présente une difficulté à cicatriser après une intervention de liposuccion au niveau des graisses abdominales. La cicatrice suppure, reste rouge, 3 mois après l'intervention. Cette patiente signale qu'elle a toujours eu des difficulté à cicatriser "même pour un petit bobo quelconque": piqûres de ronces, éraflures, etc. Cette patiente ne présente pas de désordres métaboliques graves. La solution A non "informée" à la dose de 0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir pendant 3 semaines n'apporte aucune amélioration. Cette même solution A "informée" par le rayonnement ultrasonique tel que défini plus haut guérit la patiente en 7 jours. Exemple n° 2 : Mme H. L., 53 ans s'est fait mordre par un cheval, en voulant le nourrir à la main! Les morsures profondes siègent au niveau de la pulpe des dernières phalanges des 2ème, 3ème et 4ème doigts droits. Les cicatrices sont rouges et douloureuses depuis plus de trois semaines. La solution A non "informée" à la dose de 0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir pendant 3 semaines n'apporte aucune amélioration. Cette même solution A "informée" par le rayonnement ultrasonique tel que défini plus haut guérit la patiente en 3 jours.
En variante, la tête émettrice d'ultrasons ayant les spécifications indiquées ci- dessus a été amenée au contact d'un excipient neutre (EN). EN consistait en 300 millilitres de la solution A telle que définie plus haut. A titre d'exemple, on a appliqué la fréquence ultrasonique pendant 10 minutes. La dilution suivante a été effectuée dans la solution A. Le reste de la procédure était identique à celle décrite dans la rubrique traitant de la fabrication de médicament utilisant un rayonnement lumineux comme source de rayonnement pour la fabrication de la teinture-mère. La TM et toutes dilutions de cette TM peut(peuvent) être utilisée(s). A titre d'exemple, on utilise la dilution 30 CH. On appelle ce produit " Ultrason 30 CH " ou " U 30 ".
Indications cliniques:
Ce produit est cicatrisant sur la peau et les muqueuses, actif dans les pathologies:
• infectieuses: virus, bactéries, champignons, quel qu'en soit le siège;
• allergiques: eczéma, coryza spasmodique, asthme, urticaire, etc.
Posologie: Toutes posologies peuvent être utilisées. A titre d'exemple on a utilisé la dose de 10 granules au coucher en traitement d'entretien et 10 granules toutes les heures dans les affections aiguës.
Toxicité: Ce produit ne possède aucune toxicité et peut être utilisé à toutes dilutions, à toutes posologies. Le rapport toxicité sur efficacité est donc nul.
Exemples cliniques:
Exemple n° 1: Mme V. L., 34 ans, présente une récidive de son asthme soigné 2 ans auparavant par ttaitement classique. La présente crise a débuté il y a 3 semaines gênant de plus en plus la patiente, de jour comme de nuit. L'auscultation révèle des sifflements dans les deux champs pulmonaires. Cette patiente présente en outre un coryza aqueux, des éternuements en salves à prédominance matinale et un eczéma sec pruriant atteignant les lèvres supérieure et inférieure. U 30 à raison de 10 granules 4 fois par jour fait disparaître l'asthme en 2 jours et l'eczéma en 5 jours.
Exemple n° 2: L'enfant J. B., 4 ans et demi, souffre d'otites à répétition depuis pratiquement la naissance, à raison de 4 ou 5 otites pendant la mauvaise saison. Cette fois l'otite s'est déclenchée dans la nuit précédant la consultation: otalgie violente bilatérale, tympans rouges des deux côtés, fièvre à 39°5, gorge et amygdales rouges. L'enfant est en sueurs, abattue et assoiffée. U 30 administré immédiatement calme la douleur en 2 heures et guérit C. D. en 48 heures, à raison de 10 granules 6 fois par jour.
Exemple n° 3: Mme C. D., 79 ans, développe un zona thoracique intercostal hyperalgique de topographie méta-mérique D 5. Les douleurs sont très violentes, à type de brûlure " comme du feu " ne laissant à cette patiente aucun repos. Ces douleurs durent depuis 3 semaines sans amélioration notable depuis 3 semaines. U 30, à raison de 10 granules 5 fois par jour et une fois la nuit fait disparaître totalement la douleur en 1 semaine.
Exemple n° 4: L'enfant D. U., 12 ans, souffre d'asthme depuis l'âge de 3 ans. Cet asthme est favorisé par toute infection au niveau ORL et ou pulmonaire. La crise n'est jugulée, habituellement, que par un traitement majeur allopathique. U 30, à raison de 10 granules 5 fois par jour et la nuit en cas de réveil fait disparaître totalement la crise en 3 jours et prévient les infections respiratoires récidivantes pendant toute la mauvaise saison de septembre à mars.
EXEMPLE B: produit à visée nerveuse et psychique
Dans cet exemple, on a retenu un rayonnement électromagnétique. A titre d'exemple, on a utilisé un appareil de type DIAPULSE, appareil émetteur d'ondes électromagnétiques flashées puisées: fréquence de l'onde: 27,12 mégacycles flash de 65 microsecondes intervalle neutre (sans émission) de 1,665 microsecondes puissance maximale transmise pendant un temps T (T est supérieur à un cycle): 3,9
% de la puissance instantanée émise pendant les flashes, qui était de 1.025 watts. cadence d'émission des flashes: de 80 à 600 par seconde.
Procédure La tête émettrice du champ électromagnétique a été placée, par exemple, à 20 centimètres au-dessus de l'excipient neutre (EN). EN consistait en 300 millilitres de la solution A telle que définie plus haut. A titre d'exemple, on a appliqué la
fréquence électromagnétique pendant 10 minutes. Le réglage de l'appareil était le suivant:
- pénétration: 3
- fréquence des pulsations: 500 (soit puissance de crête: 488 watts; puissance moyenne: 15,85 watts)
La dilution suivante a été effectuée dans de l'alcool pharmaceutique titré par exemple à 60°. Le titrage de l'alcool a été vérifié par la Pharmacopée de Willmar Schwabe DAB 5 de 1926.
Le reste de la procédure était identique à celle décrite dans la rubrique traitant de la fabrication de médicament utilisant un rayonnement lumineux comme source de rayonnement pour la fabrication de la teinture-mère.
La TM et toutes dilutions de cette TM peut (peuvent) être utilisée(s). A titre d'exemple, on a utilisé la dilution 30 CH. On appelle ce produit " EM 30 CH ".
Indications cliniques:
Ce produit est actif dans les pathologies nerveuses et psychiques: dépression, troubles du sommeil, maladies psychosomatiques, syndrome anxieux, manies, dystonies neurovégétatives.
Posologie:
Toutes posologies peuvent être utilisées. A titre d'exemple on a utilisé la dose de 10 granules au coucher en traitement d'entretien et 10 granules toutes les heures dans les affections aiguës.
Toxicité:
Ce produit ne possède aucune toxicité et peut être utilisé à toutes dilutions, à toutes posologies. Le rapport toxicité sur efficacité est donc nul.
Exemples cliniques: Exemple n° 1: Mr G. T., 53 ans, présente un long passé d'idées fixes: peur d'être attaqué dans la rue, dans le métro, peur d'être suivi. Les déplacements sont épuisants nerveusement au point d'entraîner des malaises, une phobie de tous les endroits publics. EM 30, à raison de 10 granules 4 fois par jour entraîne la disparition des symptômes après un mois de traitement. Un traitement d'entretien, à raison de 10 granules au coucher est maintenu, que le patient poursuit de lui-même dans la crainte du retour des obsessions.
Exemple n° 2: Mr M. C, 22 ans, présente un trac pénalisant lors des examens: trous de mémoire, palpitation, sueurs, troubles de concentration sont les symptômes cardinaux qui rendent le travail effectué insuffisamment productif en terme de notations. Les insomnies la veille de l'examen rendent toujours les performances intellectuelles plus difficiles. EM 30, à raison de 10 granules au coucher et 10 granules 5 minutes avant l'examen estompent grandement les troubles et permettent à l'étudiant une meilleure rentabilisation des efforts fournis.
EXEMPLE C: produit à visée circulatoire La couleur retenue est le bleu.
Il est possible d'avoir recours à une technique additive d'obtention de la(des) couleur(s).
Dans l'exemple qui suit, on a eu recours à une technique soustractive d'obtention de couleur(s) par l'utilisation de filtre(s). Tous les filtres bleus peuvent être utilisés, y compris les filtres violets, indigos et ultraviolets. A titre d'exemple, on a utilisé un FILTRE BLEU de type KODAK WRATTEN ORDINAIRE N° 47. (cf. "Photographie handbook of Wratten filters", éd. Kodak).
On peut utiliser toutes techniques de polarisation. A titre d'exemple on a utilisé un ou plusieurs filtre(s) polarisant(s) et comme autre exemple un filtre polarisant.
On peut utiliser un filtre polarisant, par exemple de type Polaroïd HNCP37 (filtre polarisant neutre circulaire en lamination suivante: acétate butyrate de cellulose, couleur gris neutre, épaisseur 0,25 mm, plaque de 480 x 1260 mm). Le matériel et la procédure ont été décrits plus haut. Dans cet exemple le rayonnement coloré est flashé, polarisé et puisé. La pulsation se fait, à titre d'exemple, de la manière suivante: un flash est délivré toutes les 10 minutes, quatre fois de suite, soit un total de quatre flashages. Après la phase précédente (flashage) permettant l'obtention de la TM irradiée, on procède à la fabrication du produit (éventuellement dilution-homogénéisation, imprégnation). Cette phase de fabrication (éventuellement dilution-homogénéisation, imprégnation) peut se faire avec tous les excipients connus de l'homme de l'art. A titre d'exemple, le diluant-excipient est de l'alcool titré à 60 degrés comme indiqué par la technique de la Pharmacopée de Willmar Schwabe DAB 5 de 1926 (Galenica 16, op. cité, page 123). Dans cet exemple, la première déconcentration subit la même procédure (flashage du rayonnement coloré polarisé et puisé) que la TM et les autres déconcentrations ne sont pas irradiées par le rayonnement coloré polarisé et puisé.
La TM et toutes les dilutions de cette TM peuvent être utilisées. Dans cet exemple, on a utilisé la TM.
L'excipient-diluant peut également être constitué par des produits alimentaires (lipidiques et/ou glucidiques et/ou protidiques) et/ou des compléments alimentaires (minéraux, oligo-éléments, vitamines, acides aminés, etc.) et/ou des plantes et/ou leurs extraits et/ou des produits d'origine animale et/ou minérale et/ou humaine et/ou chimique et/ou des médiateurs ou substances biologiques et/ou chimiques et/ou des hormones.
De même, l'excipient-diluant, une fois "informé" selon le procédé physique tel que défini ici, peut être associé, dans la même formule, avec des produits alimentaires (lipidiques et/ou glucidiques et/ou protidiques) et/ou des compléments alimentaires (minéraux, oligo-éléments, vitamines, acides aminés, etc.) et/ou des plantes et/ou leurs extraits et ou des produits d'origine animale et ou minérale et ou humaine et/ou chimique et/ou des médiateurs ou substances biologiques et/ou chimiques et/ou des hormones.
A titre d'exemple le produit est constitué par la solution A indiquée plus haut, qui est exposée au rayonnement bleu flashé polarisé et puisé.
Une seconde formule, dénommée solution B indiquée plus haut, peut être utilisée en lieu et place de la solution A ou en association avec la solution A dans le même flacon.
La dose du PACA (solution A et/ou B ayant subi l'exposition à un ou plusieurs systèmes d'ondes électromagnétiques et/ou acoustiques ou SOEA) peut être, à titre d'exemple, de 0,2 millilitre dans une cuillère à café d'eau du robinet, si possible à garder 1 minute sous la langue, 2 fois par jour, par exemple au réveil et au coucher. Cette formule de PACA (exposition de la solution A et/ou B au rayonnement bleu, flashé, polarisé, puisé) permet d'améliorer le confort vasculaire (artériel, veineux, lymphatique, capillaire). En raison de son action favorable sur la circulation, c'est-à-dire sur la nutrition des cellules, cette formule de PACA améliore également les conforts digestif et génito-urinaire ; elle renforce les défenses de l'organisme (effet immunostimulant) et augmente la résistance générale de l'organisme. Elle améliore aussi le confort digestif en raison de son action sur la circulation.
Exemples cliniques: Pour les exemples cliniques qui suivent, on a utilisé la solution A indiquée plus haut, exposée au bleu flashé, polarisé et puisé défini ci-dessus.
Posologie:
A titie d'exemple, la posologie a été de 0,2 millilitre dans une cuillère à café d'eau du robinet, si possible à garder 1 minute sous la langue, 2 fois par jour, par exemple au réveil et au coucher. Exemple n° 1 : Mme C. J., 71 ans, présente une insuffisance veino-lymphatique se manifestant par une lourdeur des deux membres inférieurs associée à un oedème prédominant au niveau de la cheville gauche. Cet état perdure depuis plus de 20 ans. La solution A non "informée" à la dose de 0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir pendant 3 mois n'apporte aucune amélioration. Cette même solution A "informée" par le rayonnement électromagnétique tel que défini plus haut (bleu flashé, polarisé, puisé) supprime tous les symptômes en l'espace de 4 semaines, aux mêmes doses (0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir).
Exemple n° 2 : Mr H.B., 68 ans présente une crampe d'effort au niveau du mollet gauche survenant après environ 100 mètres de marche lente. Ce patient est athéromateux. Il présente, par ailleurs, une prostatite chronique. La solution A non "informée" à la dose de 0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et son pendant 2 mois n'apporte aucune amélioration. Cette même solution A "informée" par le rayonnement électromagnétique tel que défini plus haut (bleu flashé, polarisé, puisé) supprime les crampes en l'espace de 15 jours, et la prostatite chronique en l'espace d'un mois de traitement, aux mêmes doses (0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir).
Exemple n° 3 : Mme M. L, 35 ans, présente un syndrome de Raynaud se manifestant par l'apparition d'une coloration blanche au niveau des 2ème et 4ème doigts droits (2èmes et 3èmes phalanges), au froid. Cette affection a débuté 8 ans auparavant. Cette patiente présente également une colopathie se manifestant par des ballonnements, des douleurs abdominopelviennes, une constipation chronique et des cystites à répétition, dont une cystite compliquée de pyélonéphrite droite. La solution A non "informée" à la dose de 0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir pendant 3 mois n'apporte aucune amélioration. Cette même solution A "informée" par le rayonnement électromagnétique tel que défini plus haut (bleu flashé, polarisé, puisé) supprime, à la fois, les symptômes circulatoires (syndrome de Raynaud), digestifs et urinaires, en l'espace de 2 semaines, aux mêmes doses (0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir).
EXEMPLE D: produit à visée rhumatologique (développant une action clinique sur les douleurs, l'inflammation, les lésions au niveau de l'appareil locomoteur). La couleur retenue est le vert. II est possible d'avoir recours à une technique additive d'obtention de la(des) couleur(s).
Dans l'exemple qui suit, on a eu recours à une technique soustractive d'obtention de couleur(s) par l'utilisation de filtre(s).
Tous les filtres verts peuvent être utilisés. A titre d'exemple, on a utilisé un filtre vert de type KODAK WRATTEN ORDINAIRE N° 58. (cf. " Photographie handbook of Wratten filters ", éd. Kodak).
On peut utiliser toutes techniques de polarisation. On utilise un ou plusieurs filtre(s) polarisant(s). A titie d'exemple, on a utilisé un filtre polarisant de type
Polaroïd HNCP37 (filtie polarisant neutre circulaire en lamination suivante: acétate butyrate de cellulose, couleur gris neutre, épaisseur 0,25 mm, plaque de 480 x 1260 mm).
Le matériel a été décrit plus haut.
Dans cet exemple, on traite de l'eau ultrapure et le rayonnement coloré est flashé, polarisé et puisé. La pulsation se fait, à titre d'exemple, de la manière suivante: un flash est délivré toutes les 10 minutes, quatre fois de suite, soit un total de quatre flashages. On obtient ainsi de l'eau ultrapure irradiée ou informée, qui est ensuite utilisée en tant que produit fini selon l'invention (dénommé "V").
Indications cliniques: Ce produit est actif dans toutes les pathologies rhumatologiques, que la douleur soit d'origine mécanique (douleur généralement aggravée par le mouvement, l'effort mécanique et améliorée par le repos mécanique) ou inflammatoire (douleur généralement aggravée par le repos avec raideur, " dérouillage " lors des premiers mouvements, lors de la mise en route, raideur, " dérouillage " au réveil, douleurs nocturnes, avec, éventuellement, la présence de signes locaux d'inflammation : rougeur, oedème, chaleur).
Posologie:
Toutes posologies peuvent être utilisées. A titre d'exemple on a utilisé la dose de 10 gouttes per os au coucher en traitement d'entretien et 10 gouttes per os toutes les 3 minutes en cas de douleurs importantes.
Toxicité:
Ce produit ne possède aucune toxicité et peut être utilisé à toutes dilutions, à toutes posologies. Le rapport toxicité sur efficacité est donc nul.
Exemples cliniques:
Exemple n° 1: Mr V. A., 25 ans, présente un lumbago avec douleur lombaire intense, invalidante, empêchant le patient de travailler. Cette crise survient sur un fond ancien de lombalgies chroniques depuis l'âge de 18 ans. Il n'y a pas de sciatique ni de cruralgie. La douleur est d'horaire mécanique, la raideur musculaire intense verrouillant le rachis lombaire. Le produit V, à raison de 10 gouttes per os toutes les heures, entraîne la disparition de toute douleur lombaire en 5 jours de traitement. Une posologie de 10 gouttes per os tous les soirs pendant toute l'année est maintenue, à visée préventive et pour éviter toute lombalgie. Exemple n° 2: Mme A. W., 54 ans, présente une douleur cervicale chronique depuis 12 ans. Cette douleur s'accompagne d'une raideur cervicale importante avec épisodes de torticolis (en moyenne 3 par an). Il n'y a pas d'irradiation névralgique au niveau des membres supérieurs. V9, à raison de 10 granules au coucher, en permanence, fait disparaître douleur et raideur en 5 jours. Exemple n° 3: Mme G. R., 65 ans, présente une névralgie cervicobrachiale gauche depuis 3 semaines. L'horaire de la douleur est mécanique: douleurs au mouvement, amélioration au repos. Cette douleur s'accompagne d'une contracture cervicale importante. Il n'y a pas de troubles moteurs ni sensitifs. Le produit V fait disparaître la névralgie en 3 semaines. Exemple n° 4: Mme P. Q., 65 ans, présente un rhumatisme déformant inflammatoire des doigts avec poussée douloureuse rythmée dans le nycthémère: aggravation à 3 heures du matin et au réveil avec " dérouillage " articulaire qui dure une trentaine de minutes. Cet état rhumatismal perdure depuis 5 ans. V, à raison de 10 gouttes en pulvérisation per linguale au coucher en traitement permanent, a stoppé les douleurs en l'espace de 5 jours de ttaitement. Un ttaitement continu de V à la même posologie : 10 gouttes en pulvérisation per linguale tous les soirs au coucher (traitement de fond) est décidé pour empêcher la récidive rhumatismale.
Exemple n° 5: Mr B. G., 33 ans, souffre de douleur osseuse au niveau d'une ancienne fracture du quart inférieur du tibia droit. La douleur est permanente et dure depuis 4 ans. Des aggravations douloureuses semblent concomitantes avec des changements de temps. C'est ainsi qu'aux dires de ce patient, il est à même, par
l'aggravation de cette douleur, de prédire le temps pluvieux, ainsi que l'approche du temps neigeux. Lors des poussées douloureuses particulièrement importantes, on note l'apparition d'un oedème au niveau de la face antérieure du tibia, en regard de l'ancienne fracture. Le produit dénommé V, à raison de 10 gouttes per os au coucher, fait disparaître la pathologie en l'espace de 3 semaines.
EXEMPLE E: produit à visée nerveuse, psychique, dermatologique et immunitaire.
La couleur retenue est le rouge.
Il est possible d'avoir recours à une technique additive d'obtention de la(des) couleur(s).
Dans l'exemple qui suit, on a eu recours à une technique soustractive d'obtention de couleur(s) par l'utilisation de filtte(s).
Tous les filtres rouges et/ou jaunes et/ou orangés peuvent être utilisés, y compris les filtres infrarouges. A titre d'exemple, on a utilisé un filtre rouge de type KODAK WRATTEN ORDINAIRE N° 25. (cf. "Photographie handbook of Wratten filters", éd. Kodak).
On peut utiliser toutes techniques de polarisation. A titte d'exemple on utilise un ou plusieurs filtre(s) polarisant(s). On a utilisé un filtre polarisant de type
Polaroïd HNCP37 (filtie polarisant neutie circulaire en lamination suivante: acétate butyrate de cellulose, couleur gris neutre, épaisseur 0,25 mm, plaque de 480 x 1260 mm).
Le matériel et la procédure ont été décrits plus haut.
Dans cet exemple le rayonnement coloré est flashé, polarisé et puisé. La pulsation se fait, à titre d'exemple, de la manière suivante: un flash est délivré toutes les 10 minutes, quatte fois de suite, soit un total de quatte flashages. Après la phase précédente (flashage) permettant l'obtention de la TM irradiée, on procède à la fabrication du produit (éventuellement dilution-homogénéisation, imprégnation). Cette phase de fabrication (éventuellement dilution-homogénéisation, imprégnation) peut se faire avec tous les excipients connus de l'homme de l'art. A titte d'exemple, le diluant-excipient est de l'alcool titté à 60 degrés comme indiqué par la technique de la Pharmacopée de Willmar Schwabe DAB 5 de 1926 (Galenica 16, op. cité, page 123). Dans cet exemple, la première déconcentration subit la même procédure (flashage du rayonnement coloré polarisé et puisé) que la TM et les autres déconcentrations ne sont pas irradiées par le rayonnement coloré polarisé et puisé. La TM et toutes les dilutions de cette TM peuvent être utilisées. Dans cet exemple, on a utilisé la TM.
L'excipient-diluant peut, également être des produits alimentaires (lipidiques et/ou glucidiques et/ou protidiques) et/ou des compléments alimentaires (minéraux, oligoéléments, vitamines, acides aminés, etc.) et/ou des plantes et/ou leurs extraits et/ou des produits d'origine animale et/ou minérale et/ou humaine et/ou chimique et/ou des médiateurs ou substances biologiques et/ou chimiques et/ou des hormones.
De même, l'excipient-diluant, une fois "informé" selon le procédé physique tel que défini plus haut, peut être associé, dans la même formule, avec des produits alimentaires (lipidiques et/ou glucidiques et/ou protidiques) et/ou des compléments alimentaires (minéraux, oligo-éléments, vitamines, acides aminés, etc.) et/ou des plantes et/ou leurs extiaits et ou des produits d'origine animale et/ou minérale et/ou humaine et ou chimique et/ou des médiateurs ou substances biologiques et/ou chimiques et/ou des hormones.
A titre d'exemple le produit est constitué par la solution A indiquée plus haut, qui est exposée au rayonnement rouge flashé, polarisé et puisé. Une seconde formule, dénommée solution B indiquée plus haut, peut être utilisée en lieu et place de la solution A ou en association avec la solution A dans le même flacon.
La dose chez l'adulte peut être, à titte d'exemple, de 0,2 millilitre dans une cuillère à café d'eau du robinet, si possible à garder 1 minute sous la langue, 2 fois par jour, par exemple au réveil et au coucher.
Cette formule de PACA (exposition de la solution A et/ou B au rayonnement rouge, flashé, polarisé, puisé) permet d'améliorer les conforts nerveux, neurovégétatif, ainsi que l'état de défense de l'organisme contre le stress et les agressions quelles qu'elles soient (psychiques, infectieuses, allergiques, physiques, etc.). Cette formule de PACA améliore la sexualité.
L'origine de cette action pléiotrope est peut-être en rapport avec l'existence de 1 ' unité neuro-endocrino-immuno-dermatologique.
Ci-après sont fournis des exemples illustrant cette unité ou communauté physiologique ou pathologique:
1- la peau et le système nerveux dérivent tous deux du même feuillet embryonnaire: le neuro-ectoderme;
2- de nombreux récepteurs cellulaires sont communs dans cette unité;
3- de nombreux médiateurs communs sont aussi bien sécrétés par le système nerveux, le système immunitaire, le système endocrinien et la peau;
4- il existe des connexions cellulaires entre les fibres nerveuses, les cellules immunitaires et les cellules de la peau;
5- l'altération du système nerveux comme la dépression et la schizophrénie, retentit sur la pertinence du système immunitaire. C'est ainsi qu'est née une science à part entière: la "psycho-neuro-immuno- endocrino-dermatologie" (Pr Crickx) (43èmes Journées internationales de biologie, Dr Serge Cannasse, Stress : des mécanismes complexes sont en jeu, Le Quotidien du Médecin n° 6392, 3 décembre 1998, p. 21). Exemples cliniques: Pour les exemples cliniques qui suivent, on a utilisé la solution A indiquée plus haut, exposée au rouge flashé, polarisé, puisé défini ci-dessus. Posologie:
A titre d'exemple, la posologie a été de 0,2 millilitre dans une cuillère à café d'eau du robinet, si possible à garder 1 minute sous la langue, 2 fois par jour, par exemple au réveil et au coucher.
1- Pathologies nerveuses et/ou psychiques et/ou hormonales:
Exemple n° 1 : Mlle B. G., 19 ans est en "prépa". Des ttoubles du sommeil, une anxiété sous-jacente liée aux enjeux des concours ardus à préparer, des troubles de la concentration en rapport avec une somme de travail intellectuel important motive la consultation. La solution A non "informée" à la dose de 0,2 millilitie à boire dans une cuillère à café matin et soir pendant 1 mois n'apporte aucune amélioration. Cette même solution A "informée" par le rayonnement électromagnétique tel que défini plus haut (rouge flashé, polarisé, puisé) supprime les problèmes en l'espace d'une semaine, aux mêmes doses (0,2 millilitie à boire dans une cuillère à café matin et soir) : la concentration est redevenue excellente, le sommeil bon et l'angoisse s'est apaisée. Par ailleurs, Melle B.G. indique qu'elle a retrouvé toute sa vie sexuelle, que ce soit au niveau du désir, du rapport lui-même et du plaisir.
Exemple n° 2 : Mme T.D., 55 ans voit la vie comme une épreuve sans cesse renouvelée : pas de joie dans l'existence, pas de plaisir, ni de désir. "Je vis comme un somnambule qui met un pied devant l'autre". Cet état de tristesse intense imprègne le psychisme de cette psychasthénique depuis "de nombreuses années". Aucune cause évidente n'est avancée par la patiente. La solution A non "informée" à la dose de 0,2 millilitie à boire dans une cuillère à café matin et soir pendant 3 mois n'apporte aucune amélioration. Cette même solution A "informée" par le
rayonnement électromagnétique tel que défini plus haut (rouge flashé, polarisé, puisé) supprime les symptômes dépressifs en l'espace de 2 semaines, aux mêmes doses (0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir).
2- Pathologies dermatologiques:
Exemple n° 1 : Mr P. E., 32 ans, présente une furonculose siégeant préférentiellement au niveau de l'aine droite et la face antérieure des deux cuisses, à raison d'un furoncle environ tous les 2 mois. Cette affection perdure depuis 12 ans. Il n'y a pas d'autres problèmes de santé. La solution A non "informée" à la dose de 0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir pendant 3 mois n'apporte aucune amélioration. Cette même solution A "informée" par le rayonnement électromagnétique tel que défini plus haut (rouge flashé, polarisé, puisé) supprime le furoncle en évolution qui disparaît en l'espace de 7 jours (et aucun autre n'apparaît par la suite), aux mêmes doses (0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir).
Exemple n° 2 : Mme R.N, 58 ans présente un eczéma au niveau des faces antérieures des avant-bras. Les lésions sont sèches rouges et pruriantes avec aggravation à la sortie du bain. L'absorption de crustacés aggrave en quelques minutes les symptômes. Cet état dure depuis plus de 5 ans. La solution A non "informée" à la dose de 0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir pendant 1 mois n'apporte aucune amélioration. Cette même solution A "informée" par le rayonnement électromagnétique tel que défini plus haut (rouge flashé, polarisé, puisé) supprime les symptômes dermatologiques en l'espace de 5 jours, aux mêmes doses (0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir).
3- Pathologies allergiques:
Exemple n° 1 : l'enfant W.F., 14 ans présente un asthme d'effort. L'asthme survient également en cas d'infections respiratoires. Les antécédents montrent des bronchites asthmatiformes dans la prime enfance. Il faut également noter des antécédents familiaux allergiques importants tant du côté de la mère (asthme, coryza spasmodique) que du père (eczéma). La solution A non "informée" à la dose de 0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir pendant 3 mois n'apporte aucune amélioration. Cette même solution A "informée" par le rayonnement électromagnétique tel que défini plus haut (rouge flashé, polarisé, puisé) supprime l'asthme d'effort et protège le patient des infections respiratoires dès la seconde
semaine de traitement, aux mêmes doses (0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir).
Exemple n° 2 : Mr J. Q., 32 ans présente un coryza spasmodique depuis l'âge de 12-13 ans. Cette pollinose débute généralement à la mi-mai et s'interrompt fin août. La solution A non "informée" à la dose de 0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir pendant 2 semaines (les 2 dernières semaines de mai) n'apporte aucune amélioration. Puis, cette même solution A "informée" par le rayonnement électromagnétique tel que défini plus haut (rouge flashé, polarisé, puisé) supprime la pathologie allergique en l'espace de 15 jours (à la mi-juin), aux mêmes doses (0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir).
4- Pathologies infectieuses:
Exemple n° 1 : L'enfant H.T., 9 ans présente des rhinopharyngites à répétition de la mi-septembre au mois de février, à raison d'un épisode infectieux toutes les 3-4 semaines, en moyenne. La solution A non "informée" à la dose de 0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir pendant 1 mois n'apporte aucune amélioration. Cette même solution A "informée" par le rayonnement électromagnétique tel que défini plus haut (rouge flashé, polarisé, puisé) supprime la symptomatologie infectieuse en l'espace de 7 jours et protège le patient pendant la mauvaise saison, aux mêmes doses (0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir).
Exemple n° 2 : Mlle D.C., 28 ans présente une cystite récidivante généralement à colibacille. La fréquence est de l'ordre d'une crise toutes les 4 à 5 semaines. Ces crises ont débuté 4 ans auparavant. On note également une tendance à la constipation et à des ballonnements abdominaux douloureux en rapport avec une colopathie connue depuis 6 ans. La solution A non "informée" à la dose de 0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir pendant 2 mois n'apporte aucune amélioration.
Cette même solution A "informée" par le rayonnement électromagnétique tel que défini plus haut (rouge flashé, polarisé, puisé) supprime, à la fois les cystites et les manifestations colitiques en l'espace de 2 semaines, aux mêmes doses (0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir).
EXEMPLE F: produit à visée anti-infectieuse.
On a eu recours au rayonnement laser. On a utilisé, à titte d'exemple, un appareil du type commercialement dénommé FRANCK LINE V2, modèle IR 100 dont les caractéristiques techniques étaient les suivantes: diode AsGa (arséniure de gallium); longueur d'onde: 904 nm (infrarouge); mode d'émission: puisée; puissance maximale des diodes: 400 W; puissance du pic d'utilisation: 100 W; fréquence: 50 Hz; longueur d'impulsion: 200 ns.
On peut utiliser toutes techniques de polarisation. A titte d'exemple on utilise un ou plusieurs filtre(s) polarisant(s). On a utilisé un filtre polarisant de type Polaroïd HR (filtre polarisant linéaire efficace dans une gamme de longueurs d'onde s'étendant de 0,5 à 2,2 microns en lamination suivante: acétate butyrate de cellulose, couleur gris neutre, épaisseur 0,25 mm, plaque de 480 x 1260 mm). A titte d'exemple, on a pointé le laser sur le flacon de solution A telle que définie plus haut
(page 10), le laser étant maintenu à 7 cm du flacon. On a interposé le filtre Polaroïd HR sur le trajet du rayon laser, à 4 cm de la tête émettrice du laser, soit à 3 cm du flacon de la solution A. La durée d'émission était, à titie d'exemple, de 4 minutes.
Le dispositif a été plongé dans l'obscurité (hormis le laser), environ 3 minutes avant l'émission laser, pendant les 4 minutes d'émission laser, puis pendant 3 minutes suivant la fin de l'émission laser. Cette procédure est reproduite à l'identique trois fois de suite, soit un total de trois irradiations laser.
Le matériel et la procédure ont été décrits plus haut.
Dans cet exemple le rayonnement coloré est flashé, polarisé et puisé. La pulsation se fait, à titte d'exemple, de la manière suivante: un flash est délivré toutes les 10 minutes, quatre fois de suite, soit un total de quatte flashages. Après la phase précédente (flashage) permettant l'obtention de la TM irradiée, on procède à la fabrication du produit (éventuellement dilution-homogénéisation, imprégnation). Cette phase de fabrication (éventuellement dilution-homogénéisation, imprégnation) peut se faire avec tous les excipients connus de l'homme de l'art. A titte d'exemple, le diluant-excipient est de l'alcool titté à 60 degrés comme indiqué par la technique de la Pharmacopée de Willmar Schwabe DAB 5 de 1926 (Galenica 16, op. cité, page
123). Dans cet exemple, la première déconcentration subit la même procédure (flashage du rayonnement coloré polarisé et puisé) que la TM et les autres déconcentrations ne sont pas irradiées par le rayonnement laser.
La TM et toutes les dilutions de cette TM peuvent être utilisées. Dans cet exemple, on a utilisé la TM.
L'excipient-diluant peut également être constitué par des produits alimentaires (lipidiques et/ou glucidiques et/ou protidiques) et/ou des compléments alimentaires (minéraux, oligo-éléments, vitamines, acides aminés, etc.) et/ou des plantes et/ou leurs extraits et/ou des produits d'origine animale et/ou minérale et/ou humaine et/ou chimique et/ou des médiateurs ou substances biologiques et/ou chimiques et/ou des hormones.
De même, l'excipient-diluant, une fois "informé" selon le procédé physique tel que défini plus haut, peut être associé, dans la même formule, avec des produits alimentaires (lipidiques et/ou glucidiques et/ou protidiques) et/ou des compléments alimentaires (minéraux, oligo-éléments, vitamines, acides aminés, etc.) et/ou des plantes et/ou leurs extraits et/ou des produits d'origine animale et/ou minérale et/ou humaine et/ou chimique et/ou des médiateurs ou substances biologiques et/ou chimiques et/ou des hormones.
A titre d'exemple le produit est constitué par la solution A indiquée plus haut, qui est exposée au rayonnement laser.
Une seconde formule, dénommée solution B indiquée plus haut, peut être utilisée en lieu et place de la solution A ou en association avec la solution A dans le même flacon.
La dose chez l'adulte peut être, à titte d'exemple, de 0,2 millilitre dans une cuillère à café d'eau du robinet, si possible à garder 1 minute sous la langue, 2 fois par jour, par exemple au réveil et au coucher.
Cette formule de PACA (exposition de la solution A et/ou B au rayonnement laser) permet d'améliorer les moyens de défense de l'organisme.
Pour les exemples cliniques qui suivent, on a utilisé la solution A exposée au rayonnement laser défini ci-dessus.
Posologie:
A titre d'exemple, la préconisation a été de 0,2 millilitre dans une cuillère à café d'eau du robinet, si possible à garder 1 minute sous la langue, 2 fois par jour, par exemple au réveil et au coucher.
Exemple n° 1 : Mme H. D., 76 ans présente un zona lombaire droit avec vésicules typiques et sensations de brûlure intense: "le feu me ronge à l'intérieur". La crise a débuté 24 heures auparavant. La solution A non "informée" à la dose de 0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir pendant 2 jours n'apporte aucune amélioration. Cette même solution A "informée" par le rayonnement électromagnétique tel que défini plus haut (rouge flashé, polarisé, puisé) supprime
tous les symptômes en l'espace de 24 heures, aux mêmes doses (0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir). Les vésicules sèchent et disparaissent en 8 jours.
Exemple n° 2 : Mlle R. J., 23 ans présente des otites à répétition de septembre à janvier (en moyenne 1 otite toutes les 5-6 semaines). Cette affection récidivante a débuté 5 ans auparavant. La solution A non "informée" à la dose de 0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir pendant 2 semaines n'entraîne aucune amélioration, le recours aux traitements classiques habituels restant inchangé. Cette même solution A "informée" par le rayonnement électromagnétique tel que défini plus haut (rouge flashé, polarisé, puisé) supprime une otite en cours en l'espace de 24 heures, puis protège la patiente contre les otites, aux mêmes doses (0,2 millilitre à boire dans une cuillère à café matin et soir).