[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Valmy

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Valmy
Valmy
Le village caché dans son vallon.
Blason de Valmy
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Châlons-en-Champagne
Intercommunalité Communauté de communes de l'Argonne Champenoise
Maire
Mandat
Cédric François
2020-2026
Code postal 51800
Code commune 51588
Démographie
Gentilé Valmesien(ne)
Population
municipale
261 hab. (2021 en évolution de −11,22 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 05′ 07″ nord, 4° 46′ 28″ est
Altitude Min. 140 m
Max. 213 m
Superficie 24,28 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Châlons-en-Champagne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Argonne Suippe et Vesle
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Valmy
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Valmy
Géolocalisation sur la carte : Marne
Voir sur la carte topographique de la Marne
Valmy
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Valmy

Valmy est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est. C'est sur le territoire de cette commune qu'a eu lieu la célèbre bataille de Valmy le .

Géographie

[modifier | modifier le code]

La commune de Valmy est située en bordure de la forêt d'Argonne aux confins est de la Champagne crayeuse. La commune comprend des collines dépassant les 150 m d'altitude. Sur l'une d'elles est bâtie l'église du village et sur une autre eût lieu la bataille de Valmy.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est dans la région hydrographique « la Seine du confluent de l'Oise (inclus) à l'embouchure » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le Fossé 01 de la commune de Chaudefontaine, le Fossé 01 de la commune de Valmy et divers bras de l'Auve[1],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Valmy[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montagnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 836 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Argers », sur la commune d'Argers à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 739,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,1 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17,5 °C, atteinte le [Note 2],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Valmy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châlons-en-Champagne, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,1 %), zones urbanisées (2 %), zones agricoles hétérogènes (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %), forêts (0,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Villa Warismeia, Waresmeium, Walmeium, Walesmeium (1132) ; Richerus Walemensis (1138) ; Walesmeia, Valesmia (1154-1161) ; Walesmeis (1165) ; Walemees (vers 1200) ; Walemis (1200) ; Walemeys (1221) ; Walesmé, Wilermés, Walamés, Welemés, Valemés, Walemés (vers 1222) ; Wailemeis (1225) ; Walemeis (1230) ; Wallemeis (vers 1240) ; Walemez, Walemeix, Walemeyx, Walemays (vers 1252) ; Walesmés (1267) ; Walemain (vers 1274) ; Waylemés (vers 1300) ; Wallemeis (1366) ; Walemeiz (1367) ; Walemeix (1392) ; Wallemeix (1392) ; Wallemy (1397) ; Walmeyum (1405) ; Walmeiz (1468) ; Walemeys (1509) ; Walmey, Vualmeix, Vualmy (1512) ; Wallemey (1519) ; Wallemmé (1572) ; Walemy (1602)[14].

Le à Valmy eut lieu la bataille de Valmy qui permit la proclamation de la République le lendemain.

Valmy est également le nom d'un des premiers groupes de résistants, fondé pendant l'été 1940 par Raymond Burgard et René Iché.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Par décret du , l'arrondissement de Sainte-Menehould est supprimé et la commune est intégrée le à l'arrondissement de Châlons-en-Champagne[15].

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune, antérieurement membre de la communauté de communes de la Région de Sainte-Menehould, est membre, depuis le , de la CC de l'Argonne Champenoise.

En effet, conformément au schéma départemental de coopération intercommunale de la Marne du [16], cette communauté de communes de l'Argonne Champenoise est issue de la fusion, au , de :

Les communes isolées de Cernay-en-Dormois, Les Charmontois, Herpont et Voilemont ont également rejoint l'Argonne Champenoise à sa création[17].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
6 octobre 1790 octobre 1792 Charles Petit dit Jolicœur    
6 octobre 1792 Floréal An VIII Jean Sebastien Boyer    
Floréal An VIII Pluviose An XI Claude Varin le Jeune    
Pluviose An XI 1816 Gregoire-Étienne Herisson    
1816 novembre 1856 Claude-Jean-Baptiste-Eutrope Dorville    
novembre 1856 juin 1865 Pierre-Alexis Godart    
juin 1865 juin 1878 Louis-Adolphe Regnault    
juin 1878 juin 1879 Théotime Langlois    
juin 1879 janvier 1881 Sébastien Petit-Jacquier    
janvier 1881 juin 1885 Louis-Adolphe Regnault    
juin 1885 mai 1908 Eugène-Camille Jesson    
7 mai 1908 mai 1912 Gustave Tilloy    
9 mai 1912 avril 1929 Georges de Chartrongne    
8 avril 1929 octobre 1933 Henri Nottin    
5 octobre 1933 novembre 1935 Maxime Lavigne    
4 novembre 1935 juillet 1956 André Procureur    
8 juillet 1956 mars 1977 André Guillard   Agriculteur
7 mars 1977 mars 1983 Edmond Lagnier    
mars 1983 mai 2001 Pierre Cochet   Directeur de coopérative agricole
mai 2001 2014 Patrick Brouillard[18]   Postier
2014[19] En cours
(au 4 juillet 2014)
Dominique Kegelaer    

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

En 2021, la commune comptait 261 habitants[Note 4], en évolution de −11,22 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
412424449442456471493495492
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
477444444405414380383358371
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
407408384375400385383390361
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
354291302290290284276290292
2021 - - - - - - - -
261--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Valmy est une commune rurale de l'Argonne et l'activité agricole est dominante. L'essentiel du territoire de la commune est composé de cultures céréalières. À noter que Valmy a donné son nom à une bière créée par des agriculteurs du village à partir d'orges cultivées sur place.

L'autoroute A4 qui traverse la commune apporte deux aires de service dont l'activité économique est importante. Leur proximité du site historique classé de la bataille de Valmy pourrait aider au développement du tourisme et un projet de liaison du site par l'une de ses aires est à l'étude.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Moulin de Valmy dans les champs.

Le moulin de Valmy

[modifier | modifier le code]

Le célèbre moulin de Valmy qui symbolise la victoire française sur les Prussiens lors de la bataille de Valmy en 1792, a été détruit le soir même de la bataille sur l'ordre de Kellermann, car il offrait une cible idéale à l'ennemi[24]. Un deuxième moulin a été vendu puis démoli en 1831.

En prévision du 150e anniversaire de la bataille de Valmy, le maire du village, André Procureur, décide de réinstaller un moulin à Valmy grâce à une souscription nationale. Le moulin vient alors d'Attiches. Les travaux, commencés en 1939 sont interrompus par la guerre et une toiture provisoire est installée. Les travaux reprennent après la guerre et le moulin est inauguré le .

Le , le site du moulin a été le théâtre d'une des célébrations du bicentenaire de la Révolution française. Le président François Mitterrand, des membres du gouvernement et des chefs d'État étrangers ont participé à un spectacle organisé par le ministère de la défense avec le concours d'artistes contemporains[25].

Le moulin a entièrement été détruit lors de la tempête de 1999. Au lendemain de la tempête, Bruno Bourg-Broc émet l'idée de lancer une souscription nationale pour la reconstruction du moulin de Valmy. Il est suivi par l'ensemble des élus de la région et l'association pour la reconstruction du moulin de Valmy est créée. En 2004, une entreprise de Villeneuve-d'Ascq est retenue pour réaliser les travaux. Un soin particulier a été apporté pour que le moulin soit plus conforme à celui d'origine. Le moulin de Valmy est inauguré, le mardi , par Michèle Alliot-Marie, ministre de la Défense.

Le musée.

Après avoir reconstruit le moulin, les collectivités de la communauté de la région de Sainte-Menehould ont lancé un projet de musée, confié à l'architecte Pierre-Louis Faloci[26], qui est placé au pied du moulin. Son ouverture a été décidée durant l'été 2011[27]. Le moulin, qui fonctionne, est ouvert au public et se visite. Le monument contenant le cœur de Kellermann est classé

[3], la statue elle, est inscrite aux monuments historiques.

, la statue elle même est inscrite[28].

Le 4 mai 2022, le moulin est à nouveau endommagé après que ses ailes se soient rompues, possiblement à la suite de rafales de vent[29]. Le coût des réparations a été estimé entre 60 000 et 300 000 [30].

Une vue de l'intérieur.

Le monument et la chapelle Kellermann

[modifier | modifier le code]

Une grande statue du Général François Christophe Kellermann, brandissant son sabre et son chapeau, a été érigée[31] en 1892 sur le site de la célèbre bataille de Valmy, à proximité du moulin. Devant cette statue, un obélisque renferme le cœur du général qui voulait être enterré auprès de ses braves soldats. Des canons furent installés, en 1894-1995, autour de sa statue.

Le monument Kellermann à proximité du moulin avec le monolithe contant son cœur.

La Chapelle de la Princesse Ginetti

[modifier | modifier le code]

Installée près de la statue du Général Kellermann, se trouve la Chapelle de la Princesse Ginetti. Construite sur le site de Valmy, elle renferme les cendres de la Princesse Ginetti, qui fut l'arrière-petite-fille du Général Kellermann. Ses dons permirent l'aménagement du site[32]. La Chapelle est fermée mais on peut en apercevoir l'intérieur par les vitres.

La statue de Miranda

[modifier | modifier le code]
La statue de Miranda.

Francisco de Miranda est un officier originaire du Venezuela, il est l'un des héros de l'indépendance de l'Amérique latine. De 1784 à 1789, il parcourt toute l'Europe pour enrichir ses connaissances selon les principes du "Grand Tour". Il revient en France en 1792 et se joint aux Girondins. Il participe ainsi à la première victoire de la République française. Une statue de ce général a été érigée dans le village de Valmy et a été inaugurée en présence de l'ambassadeur du Venezuela.

Le buste de Bolivar

[modifier | modifier le code]
Le buste de Simon Bolivar.

Le général Simón Bolívar reprit l'œuvre de libération de Miranda et offrit l'indépendance au Venezuela. Son buste fait face à la statue de Miranda. Il est fleuri tous les ans par l'ambassadeur du Venezuela. À ses côtés, est exposé un char M47 de l'armée des États-Unis.

L'église paroissiale

[modifier | modifier le code]
Martin partageant sont manteau, vitrail de 1867 par Baron don Collet-Fricotel.

Reconstruite en 1835, elle possède un ciborium, un retable et un autel qui sont inscrits au titre d'objets au registre des monuments historiques[33], elle possède aussi un ensemble de vitraux de la fin du XIXe siècle.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Durant la bataille de Valmy :

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Armes de Valmy

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

d'argent aux trois rochers de sinople mouvant de la pointe, surmontés chacun d'une étoile de gueules, au chef du même chargé d'un croissant versé du champ.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Valmy » sur Géoportail (consulté le 27 mai 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Fiche communale de Valmy », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. a et b « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Valmy et Argers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Argers », sur la commune d'Argers - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Argers », sur la commune d'Argers - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Valmy ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châlons-en-Champagne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Auguste Longnon, Dictionnaire topographique de la Marne, Paris, (lire en ligne), p. 279.
  15. Décret no 2017-453 du 29 mars 2017 portant suppression de l'arrondissement de Sainte-Menehould (département de la Marne), publié au JORF du .
  16. « Schéma départemental de coopération intercommunale de la marne » [PDF], Tout savoir sur votre SDCI, Association nationale des Pôles d'équilibre territoriaux et ruraux et des Pays (ANPP), (consulté le ), p. 2.
  17. « Arrêté préfectoral du 3 mai 2013 portant création du nouvel Établissement public de coopération intercommunale issu de la fusion de la Communauté de communes du canton de Ville-sur-Tourbe, de la Communauté de communes de la région de Givry- en-Argonne et de la Communauté de communes de la région de Sainte-Ménehould en y incluant les communes isolées de Cernay-en-Dormois, Les Charmontois, Herpont et Voilemont », Bulletin d'information et recueil des actes administratifs de la préfecture de la Marne, no 5 bis,‎ , p. 16-24 (lire en ligne [PDF]).
  18. Liste des maires au 1er août 2008, site de la préfecture de la Marne, consulté le 22 décembre 2008
  19. « Liste des maires du département de la Marne » [PDF], Renouvellement des exécutifs locaux, Préfecture de la Marne, (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. L'Express no 3051-3052 du 24 décembre 2009 au 6 janvier 2010 : Valmy Vents de discorde : page 106
  25. Valmy : la légende héroïque sur l'histoire magazine (1989)
  26. Pierre-Louis Faloci a conçu les musées du camp du Struthof et du mont Beuvray
  27. Le Moniteur no 5521 du 18 septembre 2009 p. 36.
  28. [PM51003252]
  29. « VIDEO. Marne : destruction des ailes du célèbre moulin de Valmy », sur France 3 Grand Est (consulté le ).
  30. Par Marie Blanchardon Le 18 mai 2022 à 15h27, « Marne : le célèbre moulin de Valmy a perdu ses ailes », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  31. Œuvre de Louis Gillet (architecte) et Théophile Eugène Victor Barrau, sculpteur.
  32. Plan du site de la bataille de Valmy sur le site web de la ville de Sainte-Menehould.
  33. PM51002201