Londinières
Londinières | |||||
La place principale avec l'église Notre-Dame et le monument aux morts. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | CC de Londinières | ||||
Maire Mandat |
Armelle Biloquet 2020-2026 |
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Code postal | 76660 | ||||
Code commune | 76392 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Londinièrais | ||||
Population municipale |
1 243 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 66 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 49′ 57″ nord, 1° 24′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 63 m Max. 203 m |
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Superficie | 18,79 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Neufchâtel-en-Bray | ||||
Législatives | 6e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | http://www.londinieres.fr/ | ||||
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Londinières est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Londinières est un bourg périurbain normand sitié aux portes du pays de Bray. Elle est située à 15 km au nord de Neufchâtel-en-Bray, 30 km au sud-est de Dieppe et de la Manche, 60 km au nord-est de Rouen et 195 km au nord-ouest de Paris.
Par l'ancienne route nationale 314 (reliant Forges-les-Eaux à Eu) qui la traverse et sa proximité à l'A28, elle constitue un carrefour local relativement important.
Le bourg est le terminus de la ligne de bus Dieppe - Londinières.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Fresnoy-Folny | Saint-Pierre-des-Jonquières | |||
Wanchy-Capval | N | Fréauville | ||
O Londinières E | ||||
S | ||||
Croixdalle | Bailleul-Neuville |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est drainée par l'Eaulne, affluent du fleuve côtier normand l'Arques., ainsi que par ses étangs.
Quartiers, hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]- Boissay-sur-Eaulne (à l'ouest de Londinières, sur la rive gauche de l'Eaulne), ancienne commune absorbée en 1823[1] ;
- la Croix ;
- Grainville.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays de Bray, bien arrosé et frais[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 878 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bouelles à 15 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 838,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Londinières est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (93,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,5 %), prairies (28,2 %), zones urbanisées (4,8 %), forêts (2,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 696, alors qu'il était de 669 en 2013 et de 618 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 84,6 % étaient des résidences principales, 7,1 % des résidences secondaires et 8,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 81,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 18,3 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Londinières en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,1 %) supérieure à celle du département (3,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 57,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (59,2 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Londinières[I 2] | Seine-Maritime[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 84,6 | 88 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 7,1 | 3,9 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 8,3 | 8,1 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Lundinarias, variation Nundinarias en 872-875[13]; Nundinarias en 875[14]; Lundinarias en 1034 environ (Jean Adigard des Gautries, 1958 p. 301)[13].
Il s'agit d'une formation toponymique en -arias, suffixe féminin (-aria) à l'accusatif pluriel. Le premier élément Londin- < Nundin- semble s'expliquer par le latin nundĭnae, nundinārum « marché »[14], d'où le sens global d’« (emplacement) de marché »[15]. Ce lieu était donc occupé par un marché, ce qu'il est d'ailleurs resté[14].
Remarque : le passage de Nundinarias à Londinières s'explique par un phénomène de dissimilation du [n] initial que l'on retrouve dans Longjumeau (Essonne, Nongemellum XIe siècle)[14].
Histoire
[modifier | modifier le code]L'élément le plus marquant de l'histoire du village est la découverte fortuite, en 1846, par Paul-Henri Cahingt, un fermier et érudit local, accompagné de l'abbé Cochet d'environ 400 fosses taillées dans la craie et qui renfermaient parfois plusieurs corps. Les sépultures étaient orientées ouest-est et disposées en rangées nord-sud. Comparativement aux nécropoles mérovingiennes analogues de Douvrend ou d'Envermeu, le mobilier exhumé est relativement peu luxueux (aucune pièce d'or ou dorée). Dans ce mobilier se trouvent : des plaques boucles en bronze datées du VIIe siècle, des fibules, une abondante céramique (150 pots, des vases, des assiettes) et un peu de verrerie. Le grand nombre d'armes découvertes sur le site et leur type montrent qu'il s'agissait de guerriers francs (avec femmes et enfants) : on dénombre pas moins de 130 scramasaxes, une vingtaine de breitsaxes, trois spatha (épées), une quinzaine de haches dont une francisque, des fers de flèches, 75 lances, un umbo de bouclier en fer, etc[16],[17].
Londinières était une baronnie[18].
La halle dite aux grains (blé, seigle, pois, vesce, lentille, sainfoin...) est édifiée en 1835. Au-dessus sont alors installées la mairie, dans un local de location, et une salle d’audience pour la justice de paix. La Halle au beurre est construite dans un second temps entre le perron de l’église et le monument aux morts. Après la suppression des foires, ce bâtiment a été transformé en l'hôtel-de-Ville[19].
Le circuit de Dieppe sur lequel se sont courus quatre Grands prix de l'ACF passait par Londinières.
La ville a été desservi par la ligne de chemin de fer secondaire Amiens - Aumale - Envermeu de 1906 à 1947.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, elle a subi des bombardements le et le [20]. Elle est décorée de la Croix de guerre 1939-1945 .
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.
Elle était de 1793 le chef-lieu du canton de Londinières[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Neufchâtel-en-Bray.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Londinières est le siège de la communauté de communes de Londinières, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]La ville accueille[Quand ?] une école maternelle (école "les Jeunes-Pousses"), une école primaire, dotée d'une 3e classe pour la rentrée 2017-2018[29] (école du Tilleul), et un collège (collège Paul-Henri-Cahingt).
Le lycée d'enseignement général le plus proche est celui de Neufchâtel-en-Bray. Il y a aussi un lycée professionnel et agricole à Neufchâtel-en-Bray. Le canton de Londinières possède un lycée d'hôtellerie situé à Smermesnil.
Santé
[modifier | modifier le code]L'hôpital le plus proche est celui de Neufchâtel-en-Bray. Le CHU le plus proche est celui de Rouen.
La commune dispose[Quand ?] d'une pharmacie, de cabinets d'infirmiers libéraux, trois médecins généralistes, un dentiste, un kinésithérapeute, une maison de retraite. Elle dispose également d'une maison pluridisciplinaire de santé.
Grâce à l'aide de la région et du département, qui ont subventionné de 510 000 € l'équipement, la commune, classée déficitaire par l’Agence régionale de santé depuis 2005, s'est équipée en 2016 d'une maison de santé pouvant accueillir jusqu’à 12 praticiens : kinésithérapeutes, généralistes, dentistes[30],[31]...
Équipements sportifs
[modifier | modifier le code]La commune dispose[Quand ?] de plusieurs équipements sportifs tels que deux gymnases (dont un est exclusivement réservé à la pratique du tennis) ainsi qu'un stade de football. La commune est également proche d'un terrain de motocross connu dans la région.
Près de l'étang ont été installés en 2019 six appareils de fitness en libre-service[32]
Autres équipements
[modifier | modifier le code]Une maison France Services ouvre en 2021 dans les locaux du centre médico-social. Cet équipement, animé par la mutualité sociale agricole, permet d'accéder à des services publics comme la caisse d’allocations familiales, les ministères de l’Intérieur, de la Justice, des Finances Publiques[33]…
Population et société
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].
En 2021, la commune comptait 1 243 habitants[Note 1], en évolution de −3,57 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sports
[modifier | modifier le code]L'Union sportive de Londinières, fondée le a fété en 2022 ses cent ans. A cette occasion, le nouveau stade de la commune a été baptisé stade Laurent-Coquin, du nom du président de ce club de 1999 à 2021[37],[38].
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Le premier week-end de septembre une fête-foraine s'installe dans le centre bourg[39].
Le jour de l'Ascension une braderie d'importance régionale[réf. nécessaire] est organisée.
Économie
[modifier | modifier le code]L'activité économique principale du bourg est l'agriculture. Londinières possède cependant une zone d'activités en cours de commercialisation[Quand ?], qui contient quelques entreprises. Notamment SERAPID, entreprise spécialisée dans l'industrie high-tech et dans l'équipement théâtral (élévateur, changement de décors...). Celle-ci embauche environ 80 salariés et a un chiffre d'affaires situé aux alentours de 20 millions d'euros.
La société SERAPID possède une autre antenne en France située à Rouxmesnil-Bouteilles et une autre à Détroit, aux États-Unis.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Notre-Dame
L'église Notre-Dame de Londinières date du XVIe siècle. L’édifice s’écroule sous les bombardements du (allemand) et du (anglais). Il ne reste plus alors que le clocher et le transept nord, fort ébranlés eux aussi, et qu’il faudra d’ailleurs consolider en 1954. Les travaux de restauration débutèrent en 1955. Autrefois placé au centre de l’édifice, le clocher s’inscrit désormais latéralement dans la nouvelle construction. Il abrite trois cloches pesant 1 200 kg, 800 kg et 350 kg dénommées respectivement : Louise-Céline, Marie et Marie-Louise Céline. La nouvelle nef est très vaste et bien éclairée par les grandes baies vitrées latérales. Elle comporte également un vitrail moderne dédiée à la Vierge Marie. L’église compte quelques œuvres d’art : une dalle tumulaire, un très beau Christ restauré, une table de communion, un orgue à tuyaux (construit par la facture d'orgues Roethinger en 1962) et quelques statues anciennes dont un « saint Sébastien » en bois transpercé de flèches.
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Le clocher dominant la partie moderne de l'église.
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Vue générale de l'église ainsi que la place principale de la ville.
- Église Saint-Melaine, à Boissay-sur-Eaulne, en damiers de pierres et de briques roses, avec une toiture d'ardoises et un clocher quadrangulaire massif. Au dessus deu porche se trouve une pierre ornée de la salamandre, symbole de François Ier
Ancienne église paroissiale, elle a appartenu à l'Abbaye Notre-Dame du Bec dès le XIIe siècle. Peu fréquentée, car de nombreux habitants étaient protestants, elle tombe complètement en ruines lors d'un orage de 1708. Elle est reconstruite jusqu'en 1758, restaurée ou remaniée en 1771, 1828, 1986 et 1996, à la suite d'un effondrement du sol[40]. - Monument aux morts
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Paul Henri Cahingt (1825-1914) : il réalisa des fouilles de sites du Néolithique, gaulois et mérovingiens sur Londinières et sa région. Il a découvert de nombreux objets[41] dont quelques-uns sont exposés au collège qui porte son nom à Londinières ainsi qu'au musée des Antiquités de Rouen (pour la plus grosse partie).
- Henri Cahingt[42] (1856-1943), son fils, professeur au collège de Dieppe, auteur de nombreux ouvrages, né à Londinères.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- « Dossier complet : Commune de Londinières (76392) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Londinières »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Londinières ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Londinières » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Londinières - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Londinières - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Seine-Maritime » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Abbé Jean-Eugène Decorde, Essai historique et archéologique sur le Canton de Londinières, Neufchâtel-en-Bray, Imprimerie Duval, , 327 p. (lire en ligne), p. 174.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Londinières et Bouelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bouelles » (commune de Bouelles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bouelles » (commune de Bouelles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Charles de Robillard de Beaurepaire et Dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique de la Seine-Maritime, 2 t., Paris, 1982 - 1984, p. 568 (lire en ligne sur Dico-Topo) [1]
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, Éditions Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 101.
- [2]
- Isabelle Rogeret, La Seine-Maritime 76, in Carte archéologique de la Gaule, éditions de la Fondation Maison des Sciences de l'Homme, Paris 1998.
- David Duarte, « 400 tombes mérovingiennes découvertes il y a 170 ans : C'est une découverte faite il y a plus de 170 ans. Une nécropole de 400 tombes, datant de l'époque des premiers Francs, à l'endroit même de la colline surnommée « le mont blanc » », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
- Dictionnaire Historique de la France T2
- « D'un siècle à l'autre à Londinières », Le Réveil édition Bresle Somme Oise, no 3707, , p. 8.
- Norbert Dufour et Christian Doré, L'Enfer des V1 en Seine-Maritime durant la Seconde Guerre mondiale, Luneray, Bertout, , 295 p. (ISBN 2-86743-179-4), p. 98.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Londinières », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Londinières : la secrétaire de mairie s’en va », Paris Normandie, (lire en ligne).
- Cynthia Lherondel, « Après la démission de Michel Huet : un nouveau maire sera élu vendredi 27 avril 2018 à Londinières : Suite à la démission du maire de Londinières, Michel Huet, une réunion de conseil municipal est organisée vendredi 27 avril 2018 pour élire le nouveau maire », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ) « Il quitte sa fonction de maire mais il restera conseiller municipal. Il conservera aussi son poste de président à la tête de la Communauté de communes de Londinières. Il a adressé une lettre d’explications d’environ une page aux Londiniérais afin d’expliquer sa décision « et dire que je voulais une transition avec Armelle Biloquet ». Son adjointe à la vie sociale et associative, devrait lui succéder. Même si rien n’est acté, comme le confirmait Michel Huet, il y a quelques jours ».
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : Cynthia Lhérondel, « 64,86% des électeurs ont fait le déplacement aujourd'hui à Londinières pour les élections municipales. Face à eux, une seule liste: celle du maire, Michel Huet. », Le Réveil, (lire en ligne) et « Une équipe municipale rajeunie à Londinières », Paris Normandie, (lire en ligne).
- « Armelle Biloquet, élue maire de Londinières à l’unanimité : Armelle Biloquet succède à Michel Huet à la tête de la mairie de Londinières. Elle a été élue à l'unanimité. Une succession logique qui s'est concrétisée vendredi 27 avril », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ) « A Londinières (Seine-Maritime), l’ancienne première adjointe, Armelle Biloquet, a pris les rênes de la mairie vendredi 27 avril 2018. Elle a succédé à Michel Huet, démissionnaire. Ce dernier reste cependant conseiller municipal et président de la Communauté de communes de Londinière ».
- « Municipales 2020. A Londinières, Armelle Biloquet : « Nous essayerons de n'oublier personne » : Armelle Biloquet, a pris les rênes de la mairie le 27 avril 2018. Elle a succédé à Michel Huet, démissionnaire. Elle dévoile les projets qu'elle espère mener entre 2020 et 2026 », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
- « Londinières : Armelle Biloquet, élue maire à l’unanimité : Lundi 25 mai 2020, Armelle Biloquet a été élue maire de Londinières à l'unanimité. Ses adjoints sont : Régine Martel, Jean-Marie Dumouchel et Jacques Lecourt », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- Cynthia Lherondel, « Une nouvelle salle de classe à l’école élémentaire de Londinières pour la rentrée : Pour accueillir dans de bonnes conditions l'ensemble des écoliers à l'école élémentaire, la municipalité a décidé la construction d'une nouvelle salle de classe. La livraison doit intervenir pour la rentrée 2017-2018 », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- Raphaël Tual, « Maison de santé : ils revendiquent un « choix politique » : Deux présidents pour un chantier. En début de semaine, les présidents de Région et du Département étaient à Londinières pour visiter le projet de maison de santé », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- Cynthia Lherondel, « Pas de matériel, pas de cabinet dentaire à Londinières pour l’instant ! : Ouverte depuis le 1 juin 2016, la maison de santé de Londinières devait accueillir une dentiste ce mois-ci. Mais son installation est reportée », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- Cynthia Lherondel, « A Londinières, six appareils de fitness sont en libre-service près de l’étang : A Londinières, près de l'étang, six appareils de fitness sont désormais en libre accès. Cardio, abdos, pectoraux… Il y en a pour tous les muscles ! », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
- « une Maison France services est attendue dans les prochains mois : L’arrivée d’une Maison France Services à Londinières est une affaire de mois. Le dossier avance bien et la Communauté de communes a même déjà opté pour que les locaux du CMS accueillent la nouvelle structure », Le Réveil édition Pays de Bray, no 3696, , p. 15 (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Sébastien Aliome, « 1922 - 2022 : 100 ans d'histoire pour l'US Londinières le samedi 4 juin : Ce samedi 4 juin, le club de football de Londinières va fêter officiellement ses 100 ans. À cette occasion, le stade sera rebaptisé du nom de l'ancien président, Laurent Coquin », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- « L'US Londinières fête ses 100 ans et rebaptise son stade au nom de Laurent Coquin : L'US Londinières a fêté ses 100 ans autour d'un tournoi de football. Mais c'était aussi l'occasion d'inaugurer le stade au nom de son ancien président : Laurent Coquin », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- Laurent Hellier, « Ce week-end, Londinières est en fête », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- Cynthia Lherondel, « A Londinières, le hameau de Boissay était une paroisse autrefois : Boissay, hameau de Londinières était autrefois une paroisse. Son nom vient du latin « Buxetum » signifiant « lieu planté de buis ». Elle a été rattachée à la commune en 1822 », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
- Abbé Jean Benoît Désiré Cochet, La Seine-Inférieure historique et archéologique : Époques gauloise, romaine et franque, Paris, Librairie Derache, , 2e éd., 614 p. (lire en ligne), p. 594-595.
- Claude Féron, « Henri Cahingt », Les présidents des Amys du Vieux Dieppe de 1912 à nos jours, Les Amys du Vieux Dieppe (consulté le ).